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Le tabac atténue les bienfaits des légumes

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La Fondation Louis Bonduelle a pour mission de faire évoluer durablement les comportements alimentaires, au service de la santé de chacun. Elle publie sur son site Internet un résumé d’une étude scientifique menée en Israel…

légumes et tabacIl est bien connu que la consommation de fruits et légumes, l’activité physique, l’obésité et la prise calorique sont fortement liées aux risques de survenue du cancer colorectal.

Dans cette expérience, a été étudié le lien éventuel entre un apport alimentaire de caroténoïdes en provenance d’une consommation de fruits et de légumes et les risques de cancer colorectal chez des personnes fumeuses.

1 817 paires c’est-à-dire des personnes qui ont deux à deux le même sexe, âge, lieu de résidence ont été sollicitées pour cette étude réalisée dans le nord de l’Israël. Les données ont été recueillies à partir de questionnaires alimentaires réguliers et la prise individuelle de caroténoïdes a alors été calculée à l’aide d’une base de données israélienne sur les contenus alimentaires. Des modèles de régression logistique ont permis l’estimation du risque de cancercolorectal chez ces personnes.

Il a été trouvé qu’il existe une relation inverse entre la consommation de la plupart des caroténoïdes (le 9-cis-béta-carotène, tous les trans-beta-carotène, la cis-beta-cryptoxantine, toutes les trans-zéaxantine et la lutéine) et les risques de cancer colorectal. Cependant, le tabagisme réduit significativement voire même renverse cet effet à la base protecteur de l’ingestion de caroténoïdes sur les risques de cancer colorectal.

Ainsi, les fumeurs devraient être informés que les effets potentiels bénéfiques d’une importante consommation de fruits et légumes sont entravés par une consommation régulière de tabac.

Quoi qu’il en soit, les fumeurs peuvent continuer et même accroitre leur consommation de fruits et légumes (bio) !

Reste que la meilleure protection contre les cancers liés au tabac, mais également contre toute une myriade d’affections gravissimes, est d’arrêter de fumer !

Sources : Fondation Louis Bonduelle

Arrêter de fumer : www.tabac-info-service.fr

14 juillet 2009 |

Denrées alimentaires: un nouvel étiquetage en vue

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Denrées alimentaires: un nouvel étiquetage en vue

L’Union Européenne souhaite clarifier la qualité et la provenance des produits alimentaires…

Dans un avenir qui n’est peut-être pas si lointain, les Européens pourront connaître l’origine de la farine composant le pain qu’ils achètent.

L’UE envisage d’étendre l’étiquetage des denrées alimentaires au lieu de production. Cette décision fait suite à une consultation publique portant sur la qualité des produits agricoles. Les agriculteurs, les producteurs et les consommateurs se sont ainsi massivement exprimés en faveur d’une plus grande utilisation de l’étiquetage indiquant le lieu de production.

Ce type d’étiquetage indique le lieu de récolte, et non de transformation, du produit. Il est déjà obligatoire pour certaines denrées alimentaires vendues dans l’UE, comme le bœuf non transformé, la volaille, les fruits, les légumes, les œufs, le miel, le vin et l’huile d’olive.

Dans une communication où elle expose son point de vue, la Commission Européenne indique qu’elle tiendra compte des préoccupations des transformateurs et des détaillants, qui craignent d’avoir beaucoup de mal à retrouver l’origine des ingrédients contenus dans les produits transformés.

Les exigences imposées par l’UE aux agriculteurs comptent parmi les plus strictes au monde. Toutefois, de nombreux consommateurs remettent en cause la qualité des produits venant de pays n’appartenant pas à l’Union européenne, surtout depuis les mouvements de panique provoqués ces dernières années par des problèmes de sécurité alimentaire touchant des produits importés.

Les agriculteurs européens apprécient les étiquettes parce qu’elles rendent leurs produits plus attrayants sur le marché européen et mondial. Nombre d’entre eux voudraient un étiquetage encore plus précis qui indiquerait la région de production.

La communication appelle également à des changements afin de mettre un terme à la confusion engendrée par la prolifération d’autres types d’étiquetage. De nombreux pays, producteurs et détaillants ont ainsi adopté des systèmes d’étiquetage différents de ceux utilisés dans l’UE.

La Commission souhaite supprimer l’étiquetage servant à identifier et à protéger la dénomination des produits traditionnels, car il n’y a eu que vingt dénominations enregistrées depuis son instauration en 1992. Celles-ci comprennent un petit pâté finlandais traditionnel, de la mozzarella produite selon la tradition italienne et quelques bières belges.

L’étiquetage concernant l’origine géographique d’un produit devrait également être revu. Parmi les produits portant ce logo figurent le camembert de Normandie (France), le jambon de Parme (Italie), l’huile d’olive de Kalamata (Grèce), le bœuf écossais (Royaume-Uni) et la saucisse de Nuremberg (Allemagne).

Entre-temps, un logo destiné à être apposé sur les produits biologiques est en cours de conception. Prévu pour entrer en vigueur en 2010, il sera obligatoire pour tous les produits vendus dans l’UE sous l’appellation «biologique».

Aucune date n’est annoncée pour le moment…

4 juillet 2009 |


Les légumes d’été passent à la casserole

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du-panier-a-l-assiette-printemps-eteLa démarche écologique, c’est aussi une manière de faire, de cuisiner, d’accommoder, de conserver, de réutiliser….

C’est à cette attente que répondent les deux nouveaux titres de la collection Recettes en confidence des Editions Gramond :

1- Du panier a l’assiette printemps-été

Après le succès du premier opus consacre aux légumes d’hiver, c’est au tour des légumes d’été de “passer a la casserole” : Du panier a l’assiette se consacre aux légumes du printemps et de l’été de toute la France.
Un livre de recettes tout en simplicité et en convivialité à l’image de ses auteurs “Les Paniers Marseillais” !

Manger bio, manger sain et écolo, de plus en plus de personnes cherchent à adopter cette façon de consommer sans augmenter leur budget en s’abonnant au principe du panier de légumes à récupérer chaque semaine.

Au-delà d’une simple consommation, ce mouvement prône des valeurs d’éthique et de solidarité qui placent le particulier en véritable consommacteur !

Mais que faire de ces légumes variés et dont certains ont disparu des marchés?

Quand on mange des légumes de saison, il faut connaître les bases de la préparation et de la cuisson de ces légumes pour ensuite laisser libre court à son imagination : c’est à cette attente que répond Du panier à l’assiette.

Plus qu’un énième livre de recettes destiné à prendre la poussière dans nos armoires, Du Panier à l’assiette révèle les outils spécifiques de préparation et de cuisson de ces légumes de saison.

Et pour faire face à la surproduction de l’été : pensez à faire des conserves et à congeler ! Et vous pourrez déguster des tomates en hiver!

Les groupes type AMAP, Paniers… se multiplient, mais tous ne sont pas Bio… ni même solidaires.
L’association marseillaise Les Paniers Marseillais fonctionne en réseau, aide les agriculteurs à la reconversion en Bio, développe le principe de solidarité (aléas climatiques, aide à la distribution de paniers, aide à la récolte, fêtes…).
Des principes universels et pas que marseillais.
Ils ont conçu le livre, les conseils et les recettes pour l’ensemble de la France.

Parution 8 juin 2009 en librairie:
Du panier a l’assiette – printemps-ete
Auteurs : Les Paniers Marseillais
Illustratrice : Margot Schleinitz
Prix : 15 E TTC – ISBN : 9782354300159
Diffuseur : De Borée

transformer-son-pain

2 – Transformer son pain en recettes gourmandes

Dans un esprit éthique et écolo de lutte contre le gaspillage, les éditions Gramond publient “Transformer son pain en recettes gourmandes“.
Les auteurs nous livrent des recettes pour récuperer son vieux pain dur ou rassis au lieu de le jeter et en faire de délicieuses recettes. Pain perdu, cookies, gratins… a base de pain. Un  principe original pour ne pas jeter notre aliment de base !

Deja en librairie:
Transformer son pain en recettes gourmandes
Auteurs et photographes : Clotilde et Didier Borgarino
Prix : 19 E TTC – ISBN : 9782354300180
Diffuseur : De Borée

Les éditions Gramond
7, rue Chauvelin — 13005 Marseille
Tél : 04 91 37 90 33

Tous ces livres sont imprimés avec des encres végétales, sur papier recyclé ou FSCP, dans une imprimerie en France qui a le Label Imprim’Vert. Vous pouvez vous les procurer en librairie (n’hésitez pas a commander et a soutenir la petite librairie : les livres sont au même tarif qu’a la Fnac ou à Carrefour) !

3 juin 2009 |

Alimentation bio dans les cantines : dites oui !

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Manger bio à la cantine, c’est possible !

ouiaubiodanslescantines1

A l’horizon 2012, un objectif de 20 % de produits biologiques, dans la restauration collective publique, a même été fixé par le gouvernement (circulaire signée par le premier ministre en 2008 – Grenelle de l’environnement). Et la part de la surface agricole consacrée à l’agriculture biologique doit atteindre 20 % d’ici 2020.

Pour marquer cet engagement et agir dès maintenant, le WWF lance une grande campagne nationale pour favoriser l’introduction de produits bio dans les cantines scolaires.

Avec la campagne « Oui au bio dans ma cantine » le WWF-France appelle tous les parents d’élèves à se mobiliser le 18 juin pour convaincre le maire de leur commune.

L’alimentation bio est une vraie réponse en matière de santé publique et de sécurité alimentaire dans le contexte de crises alimentaires actuel (vache folle, OGM, pesticides…), car elle permet de concilier variété, qualité, traçabilité et sûreté alimentaire à un coût acceptable. Mais aussi, cela permet à tous, et tout particulièrement aux enfants, de redécouvrir l’acte de manger sain, en accord avec les saisons et la nature, ce qui contribue, en passant, à lutter contre l’obésité.

Si le bio est local et de saison, c’est moins d’énergie consommée pour sa production et son transport et du coup, moins de gaz à effet de serre  !

Enfin, le bio, c’est bon pour les finances ! En bio, les agriculteurs touchent un revenu décent, la production locale bio crée 20 à 30% d’emplois supplémentaires et permet de faire économiser aux contribuables les frais de décontamination et frais médicaux générés par l’utilisation des pesticides….

Alors, dites oui au bio dans les cantines en signant la pétition du WWF (adresse ci dessous)


Le clip de la campagne :


Trouvez plus de vidéos comme celle-ci sur Planète-Attitude

Pour aller plus loin :

1 juin 2009 |

Replacer notre alimentation au coeur de nos sociétés

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Un nouveau livre sur les AMAP : l’occasion de faire le tour des propriétaires !

Cet ouvrage aborde l’ensemble des questions relatives aux Amap : les origines du mouvement, son développement en France, le point de vue du consommateur comme celui du producteur, l’impact sur nos comportements et notre environnement, les aspects pratiques (comment créer une AMAP, y adhérer, les types de contrats, la charte), etc.

Extrait des premières lignes de l’introduction :

amap-livreLes AMAP (Associations pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) sont des systèmes de production et de distribution originaux qui mettent en lien direct des agriculteurs et des consommateurs. Leur principe est simple, au premier regard : un producteur propose chaque semaine à un ensemble de consommateurs adhérents de l’association, un «panier» de produits dont la composition est fonction de la production et aussi de ses irrégularités. Il s’agit le plus souvent de légumes, bien qu’il existe des Amap organisées autour de la viande et que, dans nombre d’Amap au départ maraîchères, des contrats sur toutes sortes de produits peuvent compléter le panier de légumes qui demeure toutefois central. Les consommateurs s’engagent à acheter le panier toute la durée de la saison et à le pré-payer, ce qui garantit au producteur l’écoulement de sa récolte et son revenu.

Le producteur quant à lui garantit aux consommateurs la fraîcheur des produits (les légumes sont récoltés le jour même de la distribution) et leur mode de production. En effet, il s’engage à produire dans le cadre d’une agriculture respectueuse de l’environnement (souvent biologique, mais pas systématiquement). Les paniers sont livrés dans un lieu de dépôt (boutique, local associatif par exemple), en général situé à proximité du lieu d’habitat des consommateurs, c’est-à-dire en ville plutôt qu’à la ferme. Lors de ces distributions hebdomadaires, dont l’organisation concrète est prise en charge en roulement par des consommateurs adhérents, chaque adhérent vient remplir son panier en fonction d’une liste de produits élaborée par le producteur, qui dépend de la récolte de la semaine. La quantité moyenne – qui correspond d’ordinaire à la consommation d’une famille, bien que dans la plupart des Amap, il soit possible de choisir un demi-panier – et le prix de ce panier sont fixés une fois pour toutes dans un contrat signé par chaque consommateur avec le producteur en début de saison, à savoir en général pour la moitié d’une année environ.

(suite…)

9 mars 2009 |

Le bio dans les étoiles

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guide michelin 2009Le Guide Michelin consacre 2 restaurants bio dans sa 100ème édition !

Deux restaurants à Arles, la capitale de la Camargue (sud-est), ont développé leur cuisine autour d’un jardin bio. L’un et l’autre ont été distingués lundi par le célèbre Guide :

C’est dans un petit espace de 30 couverts où les gens viennent “assister à une représentation culinaire”, explique à l’AFP Jean-Luc Rabanel (l’Atelier), 45 ans, qui a été le premier chef étoilé bio. Ravi de sa deuxième étoile, il la qualifie de “grâce suprême”. (suite…)

5 mars 2009 |

Le bio un réflexe de consommation ?

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produits-bioSelon les dernières informations recueillies par l’Agence Bio (baromètre annuel réalisé avec le CSA en octobre 2008), la crise économique ne freine pas les français à la consommation de produits bio : plus de 4 Français sur 10 ont consommé au moins un produit bio par mois en 2008 !

76% des Français estiment que la bio est une voie d’avenir face aux problèmes environnementaux !

39% des Français sont acheteurs de produits bio et les nouveaux adeptes sont chaque jour plus nombreux

Quelques éléments clés issus de l’étude que vous pouvez télécharger ici : http://www.agencebio.org/pageEdito.asp?IDPAGE=139&n2=98 (suite…)

20 février 2009 |

Produits bio : comment conserver leur saveurs et apports ?

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Pour mettre à l’abri votre organisme des pesticides et OGM, largement présent dans l’alimentation non contrôlée, les produits bio sont bien évidemment la solution. Mais une fois votre panier de provision à la maison, cuisinez vous bien vos fruits et légumes ?

Respecter le produit

cuisson-basse-temperature Les plus grands chefs vous le diront. En cuisine, pour obtenir une recette efficace, il faut respecter le produit. Le respecter, c’est éviter de l’altérer de manière irréversible. La cuisson doit donc se faire à des températures “basses”, c’est une cuisson lente qui va préserver les saveurs, les aromes, et les apports pour la santé !

Procédé moderne de cuisson, la cuisson à basse température nécessite le plus souvent l’utilisation de poches étanches où les aliments sont cuits sous vide d’air pour préserver au mieux leurs qualités organoleptiques. Les légumes bio méritent bien cette cuisson douce, comme par exemple la tomate et ses bienfaits.

Les fruits et légumes bio, dépourvus de pesticides, sont une mine d’apports pour l’organisme. En les cuisant à basse température, vous pouvez en conserver les points forts. “Cela permet de conserver de 80 % à 90 % des nutriments (sels minéraux, vitamines, oligo-éléments, protéines et acides aminés)” explique Ann-Charlotte, fondatrice de la société Bien et Bio, qui commercialise des ustensiles de cuisine. Mais à la maison, comment ça se passe ?

Des ustensiles de cuisine basse température peuvent se trouver sur le web. Toute la panoplie de cuisine se décline en basse température. Les caractéristiques spéciales de ces produits ? Ils possèdent un fond thermodiffuseur de 10 mm d’épaisseur qui permet à la chaleur de s’accumuler et d’être restituée uniformément. Alors pour accompagner vos paniers bio, un ustensile basse température ?

Article rédigé avec les conseils de Bien et Bio, boutique de produits bio.
www.bien-et-bio.com
02.51.71.80.11

15 février 2009 |

Notre alimentation est trop riche en Gaz à Effet de Serre !

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Les aliments ont des impacts différents sur le changement climatique.

Selon leur mode de production, la distance qui sépare le lieu de production du lieu de consommation…, ils ne seront pas tous aussi riches en gaz à effet de serre (GES). Le petit Guide de l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) : “Des Gaz à Effet de Serre dans mon Assiette” permet de s’y retrouver et de faire le point sur notre alimentation quotidienne.

En tête des conseils de ce guide :

  • il est vital de privilégier une consommation de proximité (aliments produits localement)
  • Manger des fruits et légumes de saison ! – Vive mon panier bio 😉
  • consommer moins de viande
  • limiter les plats surgelés ou préparés
  • faire ses courses au plus près de chez soi

N’ALIMENTONS PAS LE CHANGEMENT CLIMATIQUE !

En changeant légèrement nos habitudes alimentaires, nous pourrons réduire facilement et rapidement notre contribution à l’effet de serre. En tant que consommateurs responsables, nous pouvons orienter nos choix vers des produits moins émetteurs de gaz à effet de serre et éviter d’acheter des produits inutiles !

RDV sur le site de l’ADEME pour télécharger le guide au format PDF

5 février 2009 |

Nous sommes ce que nous mangeons…

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Alerte dans nos assiettes


En février 2008, Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, annonçait, au nom de la lutte contre l’obésité infantile, son intention d’encadrer les publicités alimentaires dans les programmes télé pour enfants. Elle lançait dans la foulée trois réunions de concertation en promettant de légiférer en cas d’échec. Que s’est-il passé depuis ? Rien…

Notre société d’abondance alimentaire génère une fracture nutritionnelle qui s’accentue entre consommateurs qui ont des moyens “normaux” et une instruction idoine, ceux de la classe moyenne, et un quart monde qui mange quand il peut, et plutôt n’importe quoi. Ce dernier est souvent la cible de fabricants peu scrupuleux de produits peu recommandables.
Sous la pression des lobbies, l’omerta règne. De méticuleuses campagnes de désinformation sont orchestrées par des cabinets spécialisés en communication pour brouiller la visibilité du processus industriel à l’œuvre. Elles parviennent à faire censurer des rapports scientifiques, sérieux mais jugés trop alarmistes sur notre alimentation, à supprimer les gardes fous pouvant nuire à la logique de profit dans les textes de lois nationaux ou communautaires.

Qui mange quoi et comment?

Tout le monde n’est pas abonné à la même assiette. En fonction du contenu de son porte-monnaie, mais également de son niveau d’éducation. En fonction aussi du temps consacré à faire les courses, à préparer les repas, à décrypter les étiquettes. (suite…)

12 janvier 2009 |
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