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Mon panier bio interviewé dans FranceSoir

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Revue de presse mon panier bio Avril 2010

FranceSoir et mon-panier-bio.comLa vérité sur les produits bien de chez nous

(…)Petit producteur
« A part le syste?me des Amap ou des Jardins de Cocagne qui garantissent la trac?abilite? des produits, c’est tre?s difficile de se repe?rer aujourd’hui dans l’offre de paniers », constate Nicolas Klein. Cet informaticien a lance? Mon-panier-bio.com, un portail proposant de re?fe?rencer les paniers bio ou locaux. Le site regroupe de?ja? plus de 200 distributeurs en France. « Face au client qui veut de la varie?te? dans son panier, certains acteurs ne respectent pas le principe du petit producteur franc?ais et comple?tent leur approvisionnement ailleurs » de?plore Nicolas Klein. (…)

NDLR : Que faire face aux demandes des consommateurs ?! En tout cas, n’hésitez pas à poser vos questions au distributeur avec lequel vous souhaitez vous engager, je suis sur qu’il se fera un plaisir d’y répondre 😉

Lire l’article complet à cette adresse : http://www.francesoir.fr/conso/la-verite-sur-les-produits-bien-de-chez-nous

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2 avril 2010 |

Chips de panais bio à la fleur de sel

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Ingrédients pour 4 à 5 personnes

  • 300 g de panais
  • 1 bain de friture
  • Fleur de sel

Préparations des chips de panais bio à la fleur de sel

  • Faire chauffer le bain de friture. Peler et laver les panais.
  • Les couper en tranches très fines, de préférence avec une mandoline.
  • Les mettre sur du papier absorbant ou sur un torchon pour enlever l’eau et le jus.
  • Les plonger dans le bain de friture et faire cuire environ 6 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient croustillantes et dorées.
  • Saupoudrer de fleur de sel et servir immédiatement.

N’hésitez pas à improviser autour du panais, cette délicieuse racine oubliée se cuisine comme les carottes et les pommes de terre.

Le panais doit être consommé rapidement car cette racine développe un goût amer lorsqu’elle n’est plus fraîche.

10 mars 2010 |

Rutabagas au lard et pommes de terre bio

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Ingrédients pour 4 à 5 personnes

  • 700 g de rutabagas bio
  • 600 g de pommes de terre bio
  • 200 g d’oignons
  • 200 g de lardons
  • Thym frais

Préparation des rutabagas bio au lard et pommes de terre bio

  • Éplucher les rutabagas lavés, les couper en tranches, puis les plonger dans une casserole d’eau bouillante et les faire blanchir 10 minutes.
  • Pendant ce temps, éplucher les pommes de terre et les couper de la même façon, tronçonner les oignons épluchés.
  • Faire revenir doucement les lardons avec les oignons dans l’autocuiseur avec un peu de matière grasse.
  • Ajouter quelques branches de thym frais.
  • Il ne faut pas que les ingrédients brunissent.
  • Ajouter les pommes de terre, les rutabagas égouttés et 2 grands verres d’eau.
  • Fermer l’autocuiseur et compter 20 minutes de cuisson sous pression. (Si vous n’avez pas d’autocuiseur, doublez le temps de cuisson )
  • Servir très chaud, avec des cornichons à volonté.

Bon appétit !

9 mars 2010 |

Salade de mâche bio au Roquefort

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Recette bio : Salade de mâche au Roquefort

  • 1 barquette de mâche
  • 2 cuillères à soupe de pignons de pin
  • 100 g de lardons fumés
  • 30 g de Roquefort
  • 1 cuillère à café de moutarde
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre
  • 3 cuillères à soupe d’huile végétale
  • 1 cuillère à soupe d’eau
  • Poivre

Préparation de la Salade de mâche au Roquefort

Préparer la vinaigrette avec la moutarde, le vinaigre, l’huile végétale, l’eau et le poivre.

Faire griller les pignons de pin à la poêle jusqu’à coloration dorée. Puis faire revenir les lardons fumés sans matière grasse. Détailler le Roquefort en dés. Mettre la mâche dans un grand saladier. Ajouter les dés de Roquefort, puis les lardons et enfin les pignons, arroser de vinaigrette. Mélanger avant de déguster.

Bon appétit !

8 mars 2010 |

Chou rouge confit aux pommes bio

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Ingrédients pour 3 à 4 personnes

  • 1 petit chou rouge bio
  • 4 cuillères à soupe de graisse de canard ou d’oie
  • 2 cuillères à soupe de fond de veau déshydraté
  • 2 pommes
  • 4 cuillères à soupe de vinaigre de Xérès
  • 2 cuillères à soupe de cassonade
  • 2 pincées de cannelle ou de quatre-épices
  • Sel, poivre du moulin

Préparation du Chou rouge confit aux pommes bio

Un accompagnement délicieux en hiver, pour qu’il soit encore plus fondant, vous pouvez le préparer la veille. A servir bien chaud avec un poulet rôti par exemple.

  • Laver et émincer le chou rouge.
  • Faire fondre la matière grasse dans une sauteuse épaisse, puis faire revenir à feu doux le chou en remuant constamment.
  • Au bout de dix minutes environ, ajouter les cubes de pomme, remuer encore pendant 2-3 minutes.
  • Ajouter alors le fond de veau en poudre, la cassonade, le vinaigre, la cannelle, saler, poivrer, ajouter 1 petit verre d’eau.
  • Couvrir et laisser cuire à tout petit feu jusqu’à ce que le chou soit parfaitement tendre et confit.
  • Bien surveiller la cuisson et ajouter régulièrement un peu d’eau de façon à ce que le chou n’accroche pas.
  • Il ne faut pas que ca brûle.
  • Au bout de 2 heures environ, éteindre le feu.

Une recette bio à servir bien chaude avec une viande grillée ou en sauce.

8 mars 2010 |

Soufflé bio pommes-poires et biscuits

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Recette du Soufflé bio pommes-poires et biscuits

Ingrédients pour 2 à 4 personnes

  • 1 pomme
  • 1 poire
  • 60 g de sucre
  • 70 g de biscuits au beurre broyé
  • 3 œufs
  • Un peu de beurre pour graisser les moules

Préparation du Soufflé bio pommes-poires et biscuits

  • Peler et épépiner la pomme et la poire, les couper en dés.
  • Dans une casserole faire revenir à feu doux les cubes de fruits, jusqu’à ce que ce soit une compote (environ 30 minutes).
  • Ajouter un peu d’eau si besoin.
  • Préchauffer le four à 175°C (thermostat 6).
  • Séparer les blancs et les jaunes d’œufs.
  • Ajouter le sucre aux jaunes et battre énergiquement pour que le mélange blanchisse et devienne mousseux, puis incorporer les biscuits broyés et la compote.
  • Battre les blancs en neige ferme, puis les incorporer délicatement à la préparation en soulevant la spatule de bas en haut pour ne pas les casser.
  • Beurrer les moules, verser la préparation, puis placer au four 30 minutes environ.
8 mars 2010 |

Pomme de terre et OGM autorisés par la Commission Européenne

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loi ogm 2010La Commission européenne vient d’autoriser ce mardi 2 mars, la commercialisation de plusieurs organismes génétiquement modifiés (OGM).

Les autorisations concernent la culture de la pomme de terre Amflora, mise au point par la firme BASF, ainsi que plusieurs variétés du maïs MON 863 !

Ces produits transgéniques étaient bloqué pour la commercialisation sur le marché public depuis plusieurs années aux différents points de vues des Etats européens sur les intérêt d’avoir recours à de tels principes.

En 2009, les Etats membres de l’UE s’étaient mobilisés  pour contrer la proposition de lever la clause de sauvegarde mise en place en Autriche et en Hongrie contre la culture du MON 810. 6 pays, dont la France et l’Allemagne, ont interdit la culture de cette variété produite par la firme Monsanto, et 11 Etats ont demandé à pouvoir interdire les cultures transgéniques sur leur territoire.

Habilitée à trancher en dernier ressort, la Commission Barroso II justifie son choix en s’appuyant sur les avis de l’Agence européenne de sécurité des aliments (AESA), selon laquelle les variétés concernées ne posent aucun problème pour la santé. Par cette décision, le président de la Commission, José Manuel Barroso, cherche à avancer sur un dossier qui lui a valu des déboires sérieux lors de son premier mandat.

M. Barroso entend profiter du début de son second mandat pour passer outre la paralysie des procédures. “Il devrait être possible de combiner un système d’autorisation communautaire (…) avec la liberté pour les Etats membres de décider s’ils veulent ou non cultiver des OGM”, écrivait-il au moment de sa reconduction. Il cherche à mettre en œuvre cette politique, par l’intermédiaire du nouveau commissaire à la santé et à la protection des consommateurs, John Dalli. La gestion du dossier a été retirée à la direction générale de l’environnement, pour être confiée à celle de la santé, après le départ de Stavros Dimas, l’ancien commissaire à l’environnement, opposé à la culture des OGM.

La décision de la Commission est fragilisée par le fait que l’indépendance de l’AESA est mise en cause : comme l’a révélé en janvier l’association Corporate Europe Observatory, la directrice du groupe OGM de l’agence, Suzy Reckens, a quitté celle-ci début 2008 pour rejoindre la firme Syngenta, qui produit des OGM. Mme Reckens avait eu à valider des produits que la Commission veut autoriser.

Pour Corinne Lepage, députée européenne, “la Commission envoie un signal détestable aux citoyens européens: alors qu’il y a une défiance croissante à l’égard des OGM, elle leur dit qu’elle méprise leur avis”. Mme Lepage demande aussi que des études sur l’impact sanitaire des OGM soient “menées par des organismes publics, et de manière transparente, ce qui n’a pas été le cas depuis dix ans”.

Article vu sur le monde

2 mars 2010 |

Pesticides et cancers chez les agriculteurs

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Le Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) prouve par le biais d’une étude qu’il existe un lien de causalité entre l’exposition des agriculteurs aux pesticides et certains cancers du sang. C’est à l’occasion du colloque organisé par la  Ligue contre le cancer , vendredi 5 février dernier, que les faits ont été exposé.

pesticides

pesticides

Premier utilisateur de pesticides (herbicides, insecticides et fongicides) en Europe, la France est 3ème dans le classement mondial. Le cancer est la première cause de mortalité dans le monde et pourrait provoquer la mort de 84 millions de personnes entre 2005 et 2015 selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

L’exposition aux pesticides en milieu agricole, ainsi qu’aux dioxines et aux solvants organiques, est considérée depuis longtemps comme un facteur de risque accru de lymphomes. Le lymphome folliculaire est ainsi en augmentation de 3 à 4 % par an depuis une trentaine d’années. Ce type de cancer du sang incurable représente la cinquième cause de mortalité par cancer au niveau national. Même si le lien de cause à effet est encore débattu, certains chercheurs pensent tenir aujourd’hui la “preuve biologique”. En effet, aucun scientifique n’avait jusqu’à présent attesté d’un lien de cause à effet entre exposition des pesticides et santé des agriculteurs. L’étude du Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) vient confirmer le doute.

En novembre 2008, les chercheurs Bertrand Nadel et Sandrine Roulland avaient dévoilés leurs premiers travaux. Ils montraient que sur une période moyenne de dix ans, les agriculteurs exposés aux pesticides présentaient dans le sang une fréquence de cellules transloquées pouvant être jusqu’à 1 000 fois supérieure à la normale, ainsi qu’une augmentation des lymphocytes B en circulation.

La translocation est un échange de matériel génétique entre les chromosomes 14 et 18, qui existe aussi chez des individus en bonne santé, mais qui peut être considérée comme précurseur de cancer.

Cette nouvelle étude (Agrican) biomoléculaire du Centre d’immunologie de Marseille-Luminy (CMIL), élaborée en association avec les épidémiologistes du Centre François Baclesse, a été réalisée ces cinq dernières années sur 144 agriculteurs exposés aux pesticides. Elle révèle l’existence d’un lien de causalité avéré entre l’exposition aux pesticides et l’origine de certains cancers chez les agriculteurs, souligne la Ligue contre le cancer.

L’équipe du CMIL a constaté que, par rapport au reste de la population, “les agriculteurs exposés aux pesticides développent dans leur génome 100 à 1 000 fois plus de cellules anormales, qui peuvent ensuite éventuellement se transformer en lymphome folliculaire” (un certain type de cancer du sang). (Cette étude est parue dans un article du Journal of Experimental Medecine du 8 juin 2009)

Il est donc maintenant prouvé que les agriculteurs exposés aux pesticides présentent des anomalies chromosomiques pouvant favoriser le développement d’un lymphome ou cancer du système immunitaire.

Selon Sandrine Roulland et Bertrand Nadel, chercheurs marseillais du CMIL :

Nos résultats apportent une vision nouvelle des étapes de progression vers le lymphome tout en mettant l’accent sur le rôle majeur de l’exposition agricole aux pesticides dans les étapes de progression

Le Ciml

Le Centre d’Immunologie de Marseille-Luminy (CIML), Unité Mixte de Recherche du CNRS, de l’Inserm et de l’Université de la Méditerranée a été créé en 1976. Il est situé sur le Parc Scientifique et Technologique de Luminy, entre Marseille et Cassis, sur la côte méditerranéenne.

En savoir + :  www.ciml.univ-mrs.fr

15 février 2010 |

Le plan Ecophyto 2018 : réduire de moitie l’utilisation des pesticides

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L’ambition du gouvernement de réduire l’usage des pesticides de moitié en 10 ans  s’est traduite par la mise en œuvre du plan Ecophyto 2018. Les travaux de l’étude Ecophyto R&D montrent qu’une réduction de l’ordre de 30% du recours aux pesticides est possible…

plan ecophyto 2018En tant qu’éco-citoyen, nous sommes tous pour la réduction de l’usage des pesticides… Même si nous avons pris l’habitude de manger bio ! Cet objectif est devenu une priorité du Gouvernement et est inscrite dans la loi de programmation relative au Grenelle Environnement.

Chantal Jouanno, Secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie a clôturé le jeudi 28 janvier 2010 le colloque « Ecophyto R&D », dont l’objectif était de présenter et de débattre des résultats de l’étude pour en tirer les enseignements pour l’action publique.

Afin d’évaluer les possibilités techniques et les impacts économiques de la réduction de l’usage de pesticides pour les principales cultures et construire des scénarii nationaux de réduction de l’usage des pesticides, les ministères du développement durable et de l’agriculture ont confié à l’INRA l’organisation de l’étude Ecophyto R&D.

Le plan Ecophyto prévoit :

  • de diffuser le plus largement possible auprès des agriculteurs les pratiques connues, économes en produits phytosanitaires (réseau de 3 000 fermes pilotes) ;
  • de dynamiser la recherche sur les cultures économes en pesticides et d’en diffuser largement les résultats ;
  • de renforcer, par la formation, la compétence de l’ensemble des acteurs de la chaîne pour réduire et sécuriser l’usage des produits phytosanitaires (permis d’achat nécessaire à compter de 2014) ;
  • de surveiller en temps réel les maladies et ravageurs des cultures afin d’avertir les exploitants et leur permettre de mieux cibler les traitements (bulletin de surveillance gratuit) ;
  • de prendre en compte la situation spécifique des départements d’outre-mer en matière de risques phytosanitaires ;
  • de mettre en oeuvre des actions spécifiques pour réduire et sécuriser l’usage des produits phytosanitaires dans les espaces non-agricoles (parcs et jardins urbains…) ;
  • de retirer du marché des produits contenant les substances les plus préoccupantes (30 substances utilisées dans 1 500 produits ont éré retirées fin 2008, 10 substances supplémentaires seront retirées fin 2010).

Les travaux de l’étude Ecophyto R&D montrent qu’une réduction de l’ordre de 30% du recours aux pesticides serait possible, avec des changements de pratiques substantiels, sans perte de marges pour les agriculteurs dans un contexte économique analogue à celui de l’année 2006, mais avec une diminution des volumes de production (5 % environ en moyenne). Les grandes cultures joueraient un rôle majeur dans cette réduction. Pour ces filières, des réductions de l’ordre de 40 % du recours aux pesticides sans réduction de marge seraient possibles.

L’étude permet d’identifier des leviers d’action à même de permettre une réduction des utilisations de produits phytosanitaires via la conception, la diffusion et l’adoption de systèmes de culture économes en pesticides.

A cet égard l’étude met en lumière l’importance de la mise en place d’un réseau de 3000 fermes références, d’expérimentation et de démonstration, permettant d’assurer la collecte et la diffusion de données sur les systèmes agricoles à bas intrants, décidée dans le cadre du Plan Ecophyto 2018.

Cette étude montre également que l’effort de recherche agronomique et d’expérimentation sur les itinéraires à bas intrants doit être maintenu dans les années qui viennent. Le financement des travaux de recherche et d’expérimentation fera donc l’objet d’une attention toute particulière dans le cadre du plan Ecophyto 2018.

Le plan Ecophyto 2018 s’inscrit dans le périmètre de l’opération “Objectif Terres 2020“.
L’agriculture et la forêt doivent aujourd’hui à la fois produire plus pour répondre aux besoins des 9 milliards d’individus attendus en 2050 et produire mieux pour préserver les ressources naturelles et la biodiversité. Pour répondre à cette double urgence il faut aujourd’hui construire une agriculture durable. C’est l’ambition d’Objectif Terres 2020, pour un nouveau modèle agricole français annoncé par le Président de la République à Daumeray (Maine-et-Loire) et présenté le 19 février 2009 par Michel Barnier.

31 janvier 2010 |

Salade de radis noir bio, sauce moutarde

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Ingrédient pour une salade de radis noir bio, sauce moutarde

  • 1 radis noir bio
  • 100 g de pousses de mâche bio
  • ½ citron ou 1 cuillère à soupe de vinaigre
  • 50 cl de fromage blanc
  • ½ bûche de fromage de chèvre
  • 2 cuillères à soupe de moutarde
  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive bio
  • 4- 5 brins de persil frais
  • Sel, poivre

Préparation de la salade de radis noir bio, sauce moutarde

Peler et découper en rondelles fines le radis noir. Rincer les pousses de mâche et le persil. Dans un bol, battre le fromage blanc avec l’huile et la moutarde. Assaisonner. Arroser de jus de citron ou ajouter le vinaigre Hacher le persil et parsemer sur la sauce. Placer tous les ingrédients dans un saladier et mélanger. Incorporer le fromage de chèvre en dés avant de servir.

Pour varier les plaisirs et faire une salade plus gourmande, on peut ajouter des œufs, des lardons grillés et des croutons.

27 janvier 2010 |
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