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Rutabagas au lard et pommes de terre bio

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Ingrédients pour 4 à 5 personnes

  • 700 g de rutabagas bio
  • 600 g de pommes de terre bio
  • 200 g d’oignons
  • 200 g de lardons
  • Thym frais

Préparation des rutabagas bio au lard et pommes de terre bio

  • Éplucher les rutabagas lavés, les couper en tranches, puis les plonger dans une casserole d’eau bouillante et les faire blanchir 10 minutes.
  • Pendant ce temps, éplucher les pommes de terre et les couper de la même façon, tronçonner les oignons épluchés.
  • Faire revenir doucement les lardons avec les oignons dans l’autocuiseur avec un peu de matière grasse.
  • Ajouter quelques branches de thym frais.
  • Il ne faut pas que les ingrédients brunissent.
  • Ajouter les pommes de terre, les rutabagas égouttés et 2 grands verres d’eau.
  • Fermer l’autocuiseur et compter 20 minutes de cuisson sous pression. (Si vous n’avez pas d’autocuiseur, doublez le temps de cuisson )
  • Servir très chaud, avec des cornichons à volonté.

Bon appétit !

9 mars 2010 |

Chou rouge confit aux pommes bio

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Ingrédients pour 3 à 4 personnes

  • 1 petit chou rouge bio
  • 4 cuillères à soupe de graisse de canard ou d’oie
  • 2 cuillères à soupe de fond de veau déshydraté
  • 2 pommes
  • 4 cuillères à soupe de vinaigre de Xérès
  • 2 cuillères à soupe de cassonade
  • 2 pincées de cannelle ou de quatre-épices
  • Sel, poivre du moulin

Préparation du Chou rouge confit aux pommes bio

Un accompagnement délicieux en hiver, pour qu’il soit encore plus fondant, vous pouvez le préparer la veille. A servir bien chaud avec un poulet rôti par exemple.

  • Laver et émincer le chou rouge.
  • Faire fondre la matière grasse dans une sauteuse épaisse, puis faire revenir à feu doux le chou en remuant constamment.
  • Au bout de dix minutes environ, ajouter les cubes de pomme, remuer encore pendant 2-3 minutes.
  • Ajouter alors le fond de veau en poudre, la cassonade, le vinaigre, la cannelle, saler, poivrer, ajouter 1 petit verre d’eau.
  • Couvrir et laisser cuire à tout petit feu jusqu’à ce que le chou soit parfaitement tendre et confit.
  • Bien surveiller la cuisson et ajouter régulièrement un peu d’eau de façon à ce que le chou n’accroche pas.
  • Il ne faut pas que ca brûle.
  • Au bout de 2 heures environ, éteindre le feu.

Une recette bio à servir bien chaude avec une viande grillée ou en sauce.

8 mars 2010 |

Pesticides et cancers chez les agriculteurs

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Le Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) prouve par le biais d’une étude qu’il existe un lien de causalité entre l’exposition des agriculteurs aux pesticides et certains cancers du sang. C’est à l’occasion du colloque organisé par la  Ligue contre le cancer , vendredi 5 février dernier, que les faits ont été exposé.

pesticides

pesticides

Premier utilisateur de pesticides (herbicides, insecticides et fongicides) en Europe, la France est 3ème dans le classement mondial. Le cancer est la première cause de mortalité dans le monde et pourrait provoquer la mort de 84 millions de personnes entre 2005 et 2015 selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

L’exposition aux pesticides en milieu agricole, ainsi qu’aux dioxines et aux solvants organiques, est considérée depuis longtemps comme un facteur de risque accru de lymphomes. Le lymphome folliculaire est ainsi en augmentation de 3 à 4 % par an depuis une trentaine d’années. Ce type de cancer du sang incurable représente la cinquième cause de mortalité par cancer au niveau national. Même si le lien de cause à effet est encore débattu, certains chercheurs pensent tenir aujourd’hui la “preuve biologique”. En effet, aucun scientifique n’avait jusqu’à présent attesté d’un lien de cause à effet entre exposition des pesticides et santé des agriculteurs. L’étude du Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) vient confirmer le doute.

En novembre 2008, les chercheurs Bertrand Nadel et Sandrine Roulland avaient dévoilés leurs premiers travaux. Ils montraient que sur une période moyenne de dix ans, les agriculteurs exposés aux pesticides présentaient dans le sang une fréquence de cellules transloquées pouvant être jusqu’à 1 000 fois supérieure à la normale, ainsi qu’une augmentation des lymphocytes B en circulation.

La translocation est un échange de matériel génétique entre les chromosomes 14 et 18, qui existe aussi chez des individus en bonne santé, mais qui peut être considérée comme précurseur de cancer.

Cette nouvelle étude (Agrican) biomoléculaire du Centre d’immunologie de Marseille-Luminy (CMIL), élaborée en association avec les épidémiologistes du Centre François Baclesse, a été réalisée ces cinq dernières années sur 144 agriculteurs exposés aux pesticides. Elle révèle l’existence d’un lien de causalité avéré entre l’exposition aux pesticides et l’origine de certains cancers chez les agriculteurs, souligne la Ligue contre le cancer.

L’équipe du CMIL a constaté que, par rapport au reste de la population, “les agriculteurs exposés aux pesticides développent dans leur génome 100 à 1 000 fois plus de cellules anormales, qui peuvent ensuite éventuellement se transformer en lymphome folliculaire” (un certain type de cancer du sang). (Cette étude est parue dans un article du Journal of Experimental Medecine du 8 juin 2009)

Il est donc maintenant prouvé que les agriculteurs exposés aux pesticides présentent des anomalies chromosomiques pouvant favoriser le développement d’un lymphome ou cancer du système immunitaire.

Selon Sandrine Roulland et Bertrand Nadel, chercheurs marseillais du CMIL :

Nos résultats apportent une vision nouvelle des étapes de progression vers le lymphome tout en mettant l’accent sur le rôle majeur de l’exposition agricole aux pesticides dans les étapes de progression

Le Ciml

Le Centre d’Immunologie de Marseille-Luminy (CIML), Unité Mixte de Recherche du CNRS, de l’Inserm et de l’Université de la Méditerranée a été créé en 1976. Il est situé sur le Parc Scientifique et Technologique de Luminy, entre Marseille et Cassis, sur la côte méditerranéenne.

En savoir + :  www.ciml.univ-mrs.fr

15 février 2010 |

Les produits bio en grande surface : trop cher !

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panier bio grande surfaceL’association de consommateurs UFC-Que choisir a publié hier une enquête sur le prix des produits bio en grande surface… Un constat affligeant !

Plus de 1600 magasins ont été passé au crible pour arriver au constat qu’outre le faible nombre de produits proposés, c’est surtout le prix qui rend ces produits bio inaccessibles. Le panier de produits bio à marques de distributeurs (MDD) est 22 % plus cher que le panier de marques nationales conventionnelles. Pire, il est 57 % plus cher que le panier de MDD non bio.

Si une partie de cet écart peut se justifier en toute bonne foi par le fait que les modes de production en agriculture biologique sont plus contraignant et plus couteux (pas de pesticides, pas d’engrais, rendement moindre…), dès qu’un produits se transforme, la filière bio met en avant qualité des ingrédients et des recettes permettant ainsi d’augmenter les prix…

D’autres raisons expliquant ces écarts sont en revanche inadmissibles. Au stade de la production agricole, le montant des aides de la PAC est historiquement lié au rendement à l’hectare, ce qui avantage les modes d’exploitations intensifs au détriment des producteurs biologiques, obligés de vendre plus chers pour équilibrer leur budget.

La grande distribution contribue également à renchérir les fruits et légumes Bio. Alors que la marge est en moyenne de 50 centimes d’Euro pour les pommes standard, elle atteint 1,09 euros pour les pommes Bio. Quant aux carottes, leur marge passe de 80 centimes en conventionnel1 à 1,33 euros pour le Bio !

Le marché des produits biologiques ne doit pas rester un marché de niche, réservé aux ménages les plus aisés, il faut le démocratiser ! En effet, l’objectif de tripler les surfaces cultivées en bio défini par le Grenelle de l’environnement, ne pourra être atteint que s’il est relayé par une augmentation parallèle de la demande des consommateurs.

L’association UFC Que Choisir exige :

  • Un calcul plus équitable des aides de la PAC, permettant un rééquilibrage des aides en faveur des exploitations en agriculture biologique.
  • Que la grande distribution rende le bio accessible au plus grand nombre, en augmentant le nombre de références en rayon et en appliquant les mêmes marges que celles qu’elle applique aux produits conventionnels.
  • Que l’Observatoire des Prix et des Marges éclaire la formation du prix des produits biologiques.

Source : www.quechoisir.org

Illustration : grinfen – Fotolia.com

27 janvier 2010 |

Food Inc. Le film à voir

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Synopsis

food-incFOOD, INC. décortique et analyse les rouages d’une industrie qui influence chaque jour notre environnement et notre santé. Des immenses champs de maïs aux rayons colorés des supermarchés, en passant par des abattoirs insalubres, un journaliste mène l’enquête pour savoir d’où viennent les produits que nous consommons tous les jours. Derrière l’image de « produits fermiers », il découvre avec beaucoup de difficultés ce que les lobbys agro-alimentaires tentent de cacher : les vraies conditions d’élevage et d’abattage de nos viandes et volailles. Grâce aux interventions d’experts comme l’auteur de FAST FOOD NATION, cette investigation illustre les dessous d’une industrie qui sacrifie les notions de qualité et de santé pour des considérations de rendement et de profit.

Vous ne regarderez plus votre assiette de la même manière !

Dans les seventies, le top 5 des emballeurs de viande bovine contrôle à peu près 25% du marché. Aujourd’hui, les 4 plus grosses entreprises détiennent plus de 80% de ce marché. Alors que  les Etats-Unis possédent des milliers d’abattoirs produisant la majorité du boeuf vendu.

Aujourd’hui, ils ne sont plus que 13. Un supermarché moderne a, en moyenne, 47 000 produits ; la majorité de ceux-ci a été produit par seulement une poignée d’entreprises de l’agroalimentaire. En 1998, le Département de l’Agriculture des USA (USDA) a décidé de faire des tests bactériologiques contre la salmonelle et certains E. coli (bactérie intestinale). Ainsi, si une usine échouait plusieurs fois à ces tests, l’USDA pouvait la faire fermer. Après avoir été traîné au tribunal par les associations de producteurs de viandes et de volailles, le Département de l’Agriculture n’a désormais plus ce pouvoir. En 2007, 73 000 personnes ont été atteintes du virus E. coli. En 1972, l’Administration de l’Alimentation et des Drogues (FDA) a conduit 50 000 inspections sanitaires. En 2006, ce nombre est tombé à 9164 contrôles. Sous l’administration Bush, la FDA avait à sa tête l’ancien vice-président de l’Association Nationale des Robots de Cuisine. Toujours, sous Bush, le chef d’équipe de l’UDSA était un ancien chef du lobby de l’industrie bovine à Washington. Avant de se reconvertir dans l’agro-business, Monsanto était une industrie chimique qui a produit, entre autres choses, des pesticides (DDT) et l’Agent Orange (un défoliant utilisé pendant la guerre du Vietnam). Le juge de la Cour Suprême, Clarence Thomas était un avocat de Monsanto à la fin des années 70. Alors qu’il était en poste à la Cour Suprême, Mr Thomas a écrit, dans une affaire, une opinion majoritaire qui a aidé Monsanto à faire respecter ses brevets de semences. Avec 32 000 cochons tués par jour, l’entreprise Smithfield de Tar Heel en Caroline du Nord est le plus gros abattoir du monde. En moyenne, un américain mange plus de 90 kg de viandes pas an. 30% des terres américaines servent aux plantations de maïs. 1 américains sur 3, né après 2000 va contracter un diabète précoce.¨Pour les minorités, ce ratio peut monter à 1 sur 2.

Un sujet tabou

Food, Inc. a représenté un véritable challenge pour son réalisateur. En effet, lors de ses investigations, Robert Kenner s’est vu refuser l’accès à de nombreuses industries de l’agro-alimentaire. Sa productrice Elise Pearlstein avoue même “qu’il aurait été plus simple de pénétrer dans le Pentagone que d’entrer dans une compagnie qui fait des céréales de petits-déjeuners.” Face à ce tabou de la part des principaux protagonistes nationaux, l’équipe du film a dû assurer ses arrières, notamment en se référant constamment au premier amendement de la constitution américaine lors de la progression du film.

Un tournage de longue haleine

Le tournage d’un documentaire demande toujours du temps, notamment dû à l’investigation. Dans le cas de Robert Kenner et de son équipe, quelques obstacles ont freiné leur travail : “Depuis que Eric Schlosser et moi avons commencé à en parler, cela a pris six à sept ans. Mais le film en lui-même, c’est deux ans et demi de travail. Cela a pris plus de temps que nous le pensions car on nous a interdit d’entrer dans beaucoup d’endroits.”

Pour savoir où est projeter le film : allocine.fr

Le site offilciel du film : www.foodinc-lefilm.com

20 janvier 2010 |

NéoPlanète : Où dénicher son panier de légumes de saison ?

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NeoPlanete article sur mon-panier-bio.com

NeoPlanete article sur mon-panier-bio.com

Revue de presse mon panier bio janvier 2010

Vu sur NéoPlanète, le magazine, webzine et radio de Yolaine de la Bigne, dans un article intitulé “Où dénicher votre panier de légumes de saison ?”, on y retrouve notre portail des distributeurs de paniers de fruits et légumes 😉

(…) Pratique
Un annuaire en ligne répertorie tous les sites proposant des paniers de fruits et de légumes bio partout en France : www.mon-panier-bio.com
(…)”

Lire l’article sur Néoplanète : http://www.neo-planete.com/2010/01/14/ou-denicher-votre-panier-de-legumes-de-saison/

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15 janvier 2010 |

Crumble bio poire chocolat noisettes

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Ingrédients pour 4 à 6 personnes

  • 4 poires bio moyennes ou 6 petites
  • 80 g de chocolat noir bio
  • 1 cuillère à soupe de sucre
  • 1 noisette de beurre
  • Pour la pâte
  • 80 g de farine
  • 80 g de beurre
  • 50 g de sucre semoule
  • 100 g de noisettes concassées

Préparation du Crumble bio poire chocolat noisettes

  • Préchauffer le four à 180°C
  • Dans un saladier, verser la farine, le sucre semoule, les noisettes et le beurre coupé en petits dés.
  • Mélanger avec le bout des doigts de façon à obtenir un mélange granuleux, de consistance sablonneuse.
  • Réserver ces miettes de crumble au frais.
  • Peler, épépiner les poires, puis les détailler en petits dés.
  • Faire fondre une bonne noisette de beurre dans une poêle, et faire revenir les fruits pendant 5 minutes à feu vif.
  • Ajouter une cuillère à soupe de sucre semoule, et faire cuire encore 5 minutes pour que les fruits caramélisent légèrement.
  • Dans un grand plat ou dans des petits ramequins individuels allant au four, verser une couche de poires caramélisées.
  • Parsemer de quelques morceaux de chocolat noir.
  • Saupoudrer généreusement de miettes de crumble.
  • Enfourner à four préchauffé à 180°C pendant environ 30 minutes, le temps pour les crumbles de bien colorer.

Il est préférable de faire cuire le crumble à la dernière minute de façon à le servir juste tiède avec, pourquoi pas une boule de sorbet à la poire.

27 décembre 2009 |

Votez pour le nouveau label européen de l’Agriculture Biologique

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C’est au printemps que la Direction Ge?ne?rale de l’Agriculture et du De?veloppement rural de la Commission europe?enne a invité les e?tudiants en art et en design des 27 Etats membres a? participer au concours europe?en du logo biologique de l’UE.

Le but de cre?er un logo bio astucieux et cre?atif, l’Union Europe?enne offre aux nouveaux talents la chance de cre?er un design qui pourra e?tre reproduit sur des millions d’emballages de produits. Le nouveau logo biologique de l’UE sera obligatoire pour tous les produits pre?emballe?s conformes aux normes d’e?tiquetage provenant des 27 Etats membres. De plus, tous les produits biologiques non-pre?emballe?s provenant de l’Union Europe?enne ou importe?s des pays tiers pourront utiliser ce logo europe?en sur une base volontaire.

Le vainqueur recevra un prix de 6 000 euros, les deuxie?me et troisie?me recevront respectivement 3 500 et 2 500 euros.

Le jury a sélectionné des meilleurs projets. Ceux-ci viennent publie?s sur le site Internet du concours en tant que candidats officiels pour le nouveau logo. Tous les citoyens europe?ens seront invite?s a? aider a? choisir le meilleur logo en votant en ligne pour leur candidat favori. Alors faites partie du Jury, et allez voter pour le futur logo du label bio européen.

logo-agriculture-bio-europeen

Pour voter, rendez-vous à cette adresse : http://ec.europa.eu/agriculture/organic/logo/index_fr.htm

Le vote en ligne est ouvert jusqu’au 31 janvier 2010

11 décembre 2009 |

Paniers bio sur la toile avec le magazine Notre Temps

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mon-panier-bio sur notre-temps-01-2009Revue de presse janvier 2009

Le magazine Notre Temps publie un article sur mon-panier-bio.com

Avec www.mon-panier-bio.com, vous pouvez vous faire livrer, près de chez vous, un panier bio de fruits et légumes chaque semaine. Pour cela, il vous suffit de consulter l’annuaire des distributeurs privés ou des associations par régions puis par départements, et de contacter l’organisme de votre choix.

Pour trouver un paniers de fruits et légumes bio et fermier, impossible de passer à cote de mon-panier-bio.com !

Article complet disponible à cette adresse : http://www.notretemps.com/internet-facile/2361613-produits-bio-sur-la-toile/1-des-sites-pour-manger-bio.html

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10 janvier 2009 |

Mon panier bio dans le Figaro

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mon-panier-bio-le-figaro

Revue de presse Juillet 2008

Le Figaro Madame n’est pas passé au travers notre site dans son article intitulé :

Moins de Carbone dans son assiette :
Passer au panier bio

“L’offre est désormais tellement importante qu’il existe un annuaire des réseaux de paniers bio : www.mon-panier-bio.com”

Encore un témoignage sur l’incontournable portail des paniers bio et fermiers 😉

Vous pouvez consulter l’article à cette adresse : http://madame.lefigaro.fr/societe/en-kiosque/1394-moins-de-carbone-dans-mon-assiette/2

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5 juillet 2008 |
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