Blog

Les produits bio en grande surface : trop cher !

Commentaires fermés sur Les produits bio en grande surface : trop cher !

panier bio grande surfaceL’association de consommateurs UFC-Que choisir a publié hier une enquête sur le prix des produits bio en grande surface… Un constat affligeant !

Plus de 1600 magasins ont été passé au crible pour arriver au constat qu’outre le faible nombre de produits proposés, c’est surtout le prix qui rend ces produits bio inaccessibles. Le panier de produits bio à marques de distributeurs (MDD) est 22 % plus cher que le panier de marques nationales conventionnelles. Pire, il est 57 % plus cher que le panier de MDD non bio.

Si une partie de cet écart peut se justifier en toute bonne foi par le fait que les modes de production en agriculture biologique sont plus contraignant et plus couteux (pas de pesticides, pas d’engrais, rendement moindre…), dès qu’un produits se transforme, la filière bio met en avant qualité des ingrédients et des recettes permettant ainsi d’augmenter les prix…

D’autres raisons expliquant ces écarts sont en revanche inadmissibles. Au stade de la production agricole, le montant des aides de la PAC est historiquement lié au rendement à l’hectare, ce qui avantage les modes d’exploitations intensifs au détriment des producteurs biologiques, obligés de vendre plus chers pour équilibrer leur budget.

La grande distribution contribue également à renchérir les fruits et légumes Bio. Alors que la marge est en moyenne de 50 centimes d’Euro pour les pommes standard, elle atteint 1,09 euros pour les pommes Bio. Quant aux carottes, leur marge passe de 80 centimes en conventionnel1 à 1,33 euros pour le Bio !

Le marché des produits biologiques ne doit pas rester un marché de niche, réservé aux ménages les plus aisés, il faut le démocratiser ! En effet, l’objectif de tripler les surfaces cultivées en bio défini par le Grenelle de l’environnement, ne pourra être atteint que s’il est relayé par une augmentation parallèle de la demande des consommateurs.

L’association UFC Que Choisir exige :

  • Un calcul plus équitable des aides de la PAC, permettant un rééquilibrage des aides en faveur des exploitations en agriculture biologique.
  • Que la grande distribution rende le bio accessible au plus grand nombre, en augmentant le nombre de références en rayon et en appliquant les mêmes marges que celles qu’elle applique aux produits conventionnels.
  • Que l’Observatoire des Prix et des Marges éclaire la formation du prix des produits biologiques.

Source : www.quechoisir.org

Illustration : grinfen – Fotolia.com

27 janvier 2010 |

Bien choisir son panier de fruits et légumes avec Greenzer.fr et Mon-panier-bio.com

Commentaires fermés sur Bien choisir son panier de fruits et légumes avec Greenzer.fr et Mon-panier-bio.com

Bien choisir son panier de fruits et légumes avec Greenzer.fr et Mon-panier-bio.com

Bien choisir son panier de fruits et légumes avec Greenzer.fr et Mon-panier-bio.com

Revue de presse janvier 2010

Le magazine en ligne Greenzer fait le point sur les modes de distribution en circuits courts avec mon-panier-bio.com

Vous avez décidé de vous abonner à un panier bio pour disposer, chaque semaine, de bons fruits et légumes bio. Mais, entre les AMAP, les Jardins de Cocagne et autres distributeurs privés, vous ne savez pas quel panier bio choisir. Greenzer vous aide à faire les bons choix, avec les conseils de Nicolas Klein, fondateur du site mon-panier-bio.com.

L’article complet est disponible à cette adresse : http://www.greenzer.fr/choisir-panier-bio-2083

Article repris sur MSN News : http://news.fr.msn.com/ecologie/pratique/article.aspx?cp-documentid=151992665

25 janvier 2010 |

Food Inc. Le film à voir

Commentaires fermés sur Food Inc. Le film à voir

Synopsis

food-incFOOD, INC. décortique et analyse les rouages d’une industrie qui influence chaque jour notre environnement et notre santé. Des immenses champs de maïs aux rayons colorés des supermarchés, en passant par des abattoirs insalubres, un journaliste mène l’enquête pour savoir d’où viennent les produits que nous consommons tous les jours. Derrière l’image de « produits fermiers », il découvre avec beaucoup de difficultés ce que les lobbys agro-alimentaires tentent de cacher : les vraies conditions d’élevage et d’abattage de nos viandes et volailles. Grâce aux interventions d’experts comme l’auteur de FAST FOOD NATION, cette investigation illustre les dessous d’une industrie qui sacrifie les notions de qualité et de santé pour des considérations de rendement et de profit.

Vous ne regarderez plus votre assiette de la même manière !

Dans les seventies, le top 5 des emballeurs de viande bovine contrôle à peu près 25% du marché. Aujourd’hui, les 4 plus grosses entreprises détiennent plus de 80% de ce marché. Alors que  les Etats-Unis possédent des milliers d’abattoirs produisant la majorité du boeuf vendu.

Aujourd’hui, ils ne sont plus que 13. Un supermarché moderne a, en moyenne, 47 000 produits ; la majorité de ceux-ci a été produit par seulement une poignée d’entreprises de l’agroalimentaire. En 1998, le Département de l’Agriculture des USA (USDA) a décidé de faire des tests bactériologiques contre la salmonelle et certains E. coli (bactérie intestinale). Ainsi, si une usine échouait plusieurs fois à ces tests, l’USDA pouvait la faire fermer. Après avoir été traîné au tribunal par les associations de producteurs de viandes et de volailles, le Département de l’Agriculture n’a désormais plus ce pouvoir. En 2007, 73 000 personnes ont été atteintes du virus E. coli. En 1972, l’Administration de l’Alimentation et des Drogues (FDA) a conduit 50 000 inspections sanitaires. En 2006, ce nombre est tombé à 9164 contrôles. Sous l’administration Bush, la FDA avait à sa tête l’ancien vice-président de l’Association Nationale des Robots de Cuisine. Toujours, sous Bush, le chef d’équipe de l’UDSA était un ancien chef du lobby de l’industrie bovine à Washington. Avant de se reconvertir dans l’agro-business, Monsanto était une industrie chimique qui a produit, entre autres choses, des pesticides (DDT) et l’Agent Orange (un défoliant utilisé pendant la guerre du Vietnam). Le juge de la Cour Suprême, Clarence Thomas était un avocat de Monsanto à la fin des années 70. Alors qu’il était en poste à la Cour Suprême, Mr Thomas a écrit, dans une affaire, une opinion majoritaire qui a aidé Monsanto à faire respecter ses brevets de semences. Avec 32 000 cochons tués par jour, l’entreprise Smithfield de Tar Heel en Caroline du Nord est le plus gros abattoir du monde. En moyenne, un américain mange plus de 90 kg de viandes pas an. 30% des terres américaines servent aux plantations de maïs. 1 américains sur 3, né après 2000 va contracter un diabète précoce.¨Pour les minorités, ce ratio peut monter à 1 sur 2.

Un sujet tabou

Food, Inc. a représenté un véritable challenge pour son réalisateur. En effet, lors de ses investigations, Robert Kenner s’est vu refuser l’accès à de nombreuses industries de l’agro-alimentaire. Sa productrice Elise Pearlstein avoue même “qu’il aurait été plus simple de pénétrer dans le Pentagone que d’entrer dans une compagnie qui fait des céréales de petits-déjeuners.” Face à ce tabou de la part des principaux protagonistes nationaux, l’équipe du film a dû assurer ses arrières, notamment en se référant constamment au premier amendement de la constitution américaine lors de la progression du film.

Un tournage de longue haleine

Le tournage d’un documentaire demande toujours du temps, notamment dû à l’investigation. Dans le cas de Robert Kenner et de son équipe, quelques obstacles ont freiné leur travail : “Depuis que Eric Schlosser et moi avons commencé à en parler, cela a pris six à sept ans. Mais le film en lui-même, c’est deux ans et demi de travail. Cela a pris plus de temps que nous le pensions car on nous a interdit d’entrer dans beaucoup d’endroits.”

Pour savoir où est projeter le film : allocine.fr

Le site offilciel du film : www.foodinc-lefilm.com

20 janvier 2010 |

NéoPlanète : Où dénicher son panier de légumes de saison ?

Commentaires fermés sur NéoPlanète : Où dénicher son panier de légumes de saison ?

NeoPlanete article sur mon-panier-bio.com

NeoPlanete article sur mon-panier-bio.com

Revue de presse mon panier bio janvier 2010

Vu sur NéoPlanète, le magazine, webzine et radio de Yolaine de la Bigne, dans un article intitulé “Où dénicher votre panier de légumes de saison ?”, on y retrouve notre portail des distributeurs de paniers de fruits et légumes 😉

(…) Pratique
Un annuaire en ligne répertorie tous les sites proposant des paniers de fruits et de légumes bio partout en France : www.mon-panier-bio.com
(…)”

Lire l’article sur Néoplanète : http://www.neo-planete.com/2010/01/14/ou-denicher-votre-panier-de-legumes-de-saison/

.

15 janvier 2010 |

Euro Gusto, le nouvel événement international de Slow Food

Commentaires fermés sur Euro Gusto, le nouvel événement international de Slow Food

Un événement européen… pour une alimentation de qualité

Du 27 au 30 novembre 2009

eurogusto 2009Organisé tous les deux ans à Tours, au coeur du Val de Loire inscrit par l’UNESCO au Patrimoine mondial, ce nouvel événement international de Slow Food permet à tout un chacun de découvrir en famille, ou entre amis, des productions de qualité venant des quatre coins de l’Europe, de la France et de la Région Centre ; d’appréhender les enjeux culturels, économiques et environnementaux qui s’y rattachent ; et de s’informer sur les pratiques de consommation responsables.
A l’heure ou de plus en plus de décisions intéressant l’avenir de l’alimentation se prennent au plan Européen, Euro Gusto est aussi un formidable moment d’échange et de partage d’expériences pour celles et ceux qui interviennent dans les domaines de l’alimentation, de l’agriculture, de l’environnement et de la santé (professionnels du secteur public et du secteur privé, responsables et bénévoles associatifs, élus) ou qui s’y intéressent.

Euro Gusto présente des productions et des savoir-faire remarquable du patrimoine alimentaire européen, mais s’attache aussi à informer un large public sur les « bonnes pratiques alimentaires » et les choix « responsables », à sensibiliser les professionnels et les décideurs, et à favoriser l’émergence d’un réseau d’acteurs porteur de projets innovants pour préparer l’avenir de l’alimentation en Europe.

Au programme de l’EuroGusto 2009 :

  • Des ateliers du Goût organisés autour d’une idée simple : une approche professionnelle pour des particuliers. En présence des producteurs et avec l’aide d’experts, on y parle de nourriture et de vin, on y fait des comparaisons, on y pose des question…
  • Une Œnothèque s’adressant aussi bien aux néophytes et aux passionné(e)s qu’à celles et ceux qui portent un regard plus expert, l’Œnothèque d’Euro Gusto est un espace de 700 m2 dédié à la présentation de vins européens de qualité…
  • Un espace “Manger Slowpour retrouver le plaisir de faire soi-même…
  • Un espace enfants, lieu unique, ludique, et pédagogique…
  • Un espace Slow Attitude pour prendre le temps de vivre mieux…
  • Des conférences et des forums à ne pas manquer..

Infos pratiques :

La Biennale Européenne du Goût et de l’Alimentation, Euro Gusto, se tient au Parc des Expositions de Tours du 27 au 30 novembre 2009.

Pour en savoir + : http://www.eurogusto.org

En savoir plus sur le mouvement SlowFood

Logo-SlowFood

“Que vous soyez debout autour d’un barbecue, agenouillés sur un tatami ou assis à la table d’un restaurant prestigieux, l’acte de se nourrir est fondamental pour vivre. Le fait d’améliorer la qualité de notre alimentation et de prendre le temps d’en profiter est une manière simple d’insuffler un peu de joie dans notre vie. Telle est la philosophie de Slow Food.”

Le Mouvement International Slow Food a été fondé à Paris en 1989 ; le siège est à Bra, en Italie. Des associations nationales ont été établies en France, aux USA, en Allemagne, en Suisse, au Japon et au Royaume Uni. Slow Food compte 82.000 adhérents dans 50 pays et 800 conviviums environ.

Slow Food est une association qui s’oppose aux effets dégradants de la culture de la fast-food qui standardisent les goûts ; qui promeut les effets bénéfiques de la consommation délibérée d’une alimentation locale, qui a des programmes d’éducation du goût pour les adultes et les enfants, qui travaille pour la sauvegarde et la promotion d’une conscience publique des traditions culinaires.

Slow Food aide les producteurs-artisans de l’agroalimentaire qui font des produits de qualité et encourage les initiatives de solidarité dans le domaine alimentaire. L’objectif de Slow Food est de développer un modèle d’agriculture moins intensif et nocif, capable de préserver et d’améliorer la biodiversité et d’offrir aussi des perspectives pour les régions moins riches.

Le site du SlowFood France :

http://www.slowfood.fr/france

23 septembre 2009 |

Le tabac atténue les bienfaits des légumes

Commentaires fermés sur Le tabac atténue les bienfaits des légumes

La Fondation Louis Bonduelle a pour mission de faire évoluer durablement les comportements alimentaires, au service de la santé de chacun. Elle publie sur son site Internet un résumé d’une étude scientifique menée en Israel…

légumes et tabacIl est bien connu que la consommation de fruits et légumes, l’activité physique, l’obésité et la prise calorique sont fortement liées aux risques de survenue du cancer colorectal.

Dans cette expérience, a été étudié le lien éventuel entre un apport alimentaire de caroténoïdes en provenance d’une consommation de fruits et de légumes et les risques de cancer colorectal chez des personnes fumeuses.

1 817 paires c’est-à-dire des personnes qui ont deux à deux le même sexe, âge, lieu de résidence ont été sollicitées pour cette étude réalisée dans le nord de l’Israël. Les données ont été recueillies à partir de questionnaires alimentaires réguliers et la prise individuelle de caroténoïdes a alors été calculée à l’aide d’une base de données israélienne sur les contenus alimentaires. Des modèles de régression logistique ont permis l’estimation du risque de cancercolorectal chez ces personnes.

Il a été trouvé qu’il existe une relation inverse entre la consommation de la plupart des caroténoïdes (le 9-cis-béta-carotène, tous les trans-beta-carotène, la cis-beta-cryptoxantine, toutes les trans-zéaxantine et la lutéine) et les risques de cancer colorectal. Cependant, le tabagisme réduit significativement voire même renverse cet effet à la base protecteur de l’ingestion de caroténoïdes sur les risques de cancer colorectal.

Ainsi, les fumeurs devraient être informés que les effets potentiels bénéfiques d’une importante consommation de fruits et légumes sont entravés par une consommation régulière de tabac.

Quoi qu’il en soit, les fumeurs peuvent continuer et même accroitre leur consommation de fruits et légumes (bio) !

Reste que la meilleure protection contre les cancers liés au tabac, mais également contre toute une myriade d’affections gravissimes, est d’arrêter de fumer !

Sources : Fondation Louis Bonduelle

Arrêter de fumer : www.tabac-info-service.fr

14 juillet 2009 |

Denrées alimentaires: un nouvel étiquetage en vue

Commentaires fermés sur Denrées alimentaires: un nouvel étiquetage en vue

Denrées alimentaires: un nouvel étiquetage en vue

L’Union Européenne souhaite clarifier la qualité et la provenance des produits alimentaires…

Dans un avenir qui n’est peut-être pas si lointain, les Européens pourront connaître l’origine de la farine composant le pain qu’ils achètent.

L’UE envisage d’étendre l’étiquetage des denrées alimentaires au lieu de production. Cette décision fait suite à une consultation publique portant sur la qualité des produits agricoles. Les agriculteurs, les producteurs et les consommateurs se sont ainsi massivement exprimés en faveur d’une plus grande utilisation de l’étiquetage indiquant le lieu de production.

Ce type d’étiquetage indique le lieu de récolte, et non de transformation, du produit. Il est déjà obligatoire pour certaines denrées alimentaires vendues dans l’UE, comme le bœuf non transformé, la volaille, les fruits, les légumes, les œufs, le miel, le vin et l’huile d’olive.

Dans une communication où elle expose son point de vue, la Commission Européenne indique qu’elle tiendra compte des préoccupations des transformateurs et des détaillants, qui craignent d’avoir beaucoup de mal à retrouver l’origine des ingrédients contenus dans les produits transformés.

Les exigences imposées par l’UE aux agriculteurs comptent parmi les plus strictes au monde. Toutefois, de nombreux consommateurs remettent en cause la qualité des produits venant de pays n’appartenant pas à l’Union européenne, surtout depuis les mouvements de panique provoqués ces dernières années par des problèmes de sécurité alimentaire touchant des produits importés.

Les agriculteurs européens apprécient les étiquettes parce qu’elles rendent leurs produits plus attrayants sur le marché européen et mondial. Nombre d’entre eux voudraient un étiquetage encore plus précis qui indiquerait la région de production.

La communication appelle également à des changements afin de mettre un terme à la confusion engendrée par la prolifération d’autres types d’étiquetage. De nombreux pays, producteurs et détaillants ont ainsi adopté des systèmes d’étiquetage différents de ceux utilisés dans l’UE.

La Commission souhaite supprimer l’étiquetage servant à identifier et à protéger la dénomination des produits traditionnels, car il n’y a eu que vingt dénominations enregistrées depuis son instauration en 1992. Celles-ci comprennent un petit pâté finlandais traditionnel, de la mozzarella produite selon la tradition italienne et quelques bières belges.

L’étiquetage concernant l’origine géographique d’un produit devrait également être revu. Parmi les produits portant ce logo figurent le camembert de Normandie (France), le jambon de Parme (Italie), l’huile d’olive de Kalamata (Grèce), le bœuf écossais (Royaume-Uni) et la saucisse de Nuremberg (Allemagne).

Entre-temps, un logo destiné à être apposé sur les produits biologiques est en cours de conception. Prévu pour entrer en vigueur en 2010, il sera obligatoire pour tous les produits vendus dans l’UE sous l’appellation «biologique».

Aucune date n’est annoncée pour le moment…

4 juillet 2009 |

Ekologeek ou la consommation responsable !

1

ekologeek

Apprendre des gestes simples et respectueux de l’environnement !

Il était temps de consacrer un article à cette association qui se démène à promouvoir les gestes écologiques au travers de nombreuses actions citoyennes, que ce soit sur le terrain ou sur la toile !

A l’origine Bejamin Roux, le fondateur est un fondu de nouvelles technologies (ce qu’on appelle dans le jargon un “geek”). Sa formation en hygiène, sécurité et environnement l’a amené à vouloir partager ses réflexions à propos de l’écologie, de l’environnement et des moyens simples de vivre en ayant un impact réduit sur la planète.

Ce qui était au départ “un petit projet sans prétention” est passé de l’édition d’un simple blog à la formation d’une association militante et aux idées simples mais efficaces. Benjamin a rapidement et sans contrainte su faire adhérer à ses principes l’équipe qui forme aujourd’hui le noyau dur de l’association ! Chemin faisant, le site et les actions ont de plus en plus de succès !

carte_consommez_responsable

Suite à un concours organisé sur le thème de la consommation responsable, un flyer a été édité au format PDF (à imprimer avec parcimonie sur du papier recyclé uniquement !). Il y est question d’alimentation bio et de choix stratégiques… Choisir ses fruits et légumes en fonction des saisons, préférer les produits labellisés bio et produits localement, manger moins de viande rouge…

Rendez vous sur le site d’ekologgek pour plus d’info et pour télécharger le flyer !

Mon panier bio soutient les actions d’Ekologeek en participant occasionnellement à la rédaction de certaines rubriques comme les “ekologos” pour en savoir plus sur les labels écologiques officiels et non officiels :  les ecolabels avec Ekologeek.

N’oubliez pas qu’une association ne peut vivre qu’avec des adhérants et des dons… n’hésitez pas, c’est déductible de vos impots !

Faire un don à l’association Ekologeek, votre argent sera bien dépensé !

22 juin 2009 |

La SNCF et le Gab44 distribuent des paniers bio en Loire Atlantique

Commentaires fermés sur La SNCF et le Gab44 distribuent des paniers bio en Loire Atlantique

Organisée à l’initiative du Groupement des agriculteurs biologiques de Loire Atlantique gab44 sncf (Gab44) et de la SNCF, l’opération consiste en la vente de paniers de fruits et légumes biologiques aux usagers du TER.

Cette opération “test” fut un véritable succès ! Les paniers bio ont été pris d’assaut ! Quatre types de paniers composés exclusivement de « produits frais, de saison et cultivés localement » sont proposés de 10 euros à 18 euros. Une seconde vente publique de paniers bio aura lieu mardi 23 juin prochain, de 17 h à 20 h. Ensuite, il faudra s’abonner pour trois, six ou neuf mois pour récupérer son panier.

« Cette initiative fait gagner du temps aux gens ou donne satisfaction à ceux qui n’ont pu intégrer une Amap (association pour le maintien d’une agriculture paysanne). Mais derrière, tout ça, il y a une recherche de produits sains qui ont du goût », explique Laurent Jouve, producteur à Oudon.

Un partenariat « gagnant-gagnant », qui permet aux producteurs bio de toucher une nouvelle clientèle et à la SNCF de fournir un service apprécié à ses usagers. A tel point qu’il pourrait être étendu à de nouvelles gares TER. « On y pense sérieusement », avoue la SNCF. (source : 20minutes.fr)

Trouvez un distributeur de fruits et légumes bio en Loire Atlantique.

Vous pouvez aussi consulter le site du Gab44, vous y trouverez une liste de tous les producteurs au format PDF avec le Guide de la vente en direct.

19 juin 2009 |

Les légumes d’été passent à la casserole

Commentaires fermés sur Les légumes d’été passent à la casserole

du-panier-a-l-assiette-printemps-eteLa démarche écologique, c’est aussi une manière de faire, de cuisiner, d’accommoder, de conserver, de réutiliser….

C’est à cette attente que répondent les deux nouveaux titres de la collection Recettes en confidence des Editions Gramond :

1- Du panier a l’assiette printemps-été

Après le succès du premier opus consacre aux légumes d’hiver, c’est au tour des légumes d’été de “passer a la casserole” : Du panier a l’assiette se consacre aux légumes du printemps et de l’été de toute la France.
Un livre de recettes tout en simplicité et en convivialité à l’image de ses auteurs “Les Paniers Marseillais” !

Manger bio, manger sain et écolo, de plus en plus de personnes cherchent à adopter cette façon de consommer sans augmenter leur budget en s’abonnant au principe du panier de légumes à récupérer chaque semaine.

Au-delà d’une simple consommation, ce mouvement prône des valeurs d’éthique et de solidarité qui placent le particulier en véritable consommacteur !

Mais que faire de ces légumes variés et dont certains ont disparu des marchés?

Quand on mange des légumes de saison, il faut connaître les bases de la préparation et de la cuisson de ces légumes pour ensuite laisser libre court à son imagination : c’est à cette attente que répond Du panier à l’assiette.

Plus qu’un énième livre de recettes destiné à prendre la poussière dans nos armoires, Du Panier à l’assiette révèle les outils spécifiques de préparation et de cuisson de ces légumes de saison.

Et pour faire face à la surproduction de l’été : pensez à faire des conserves et à congeler ! Et vous pourrez déguster des tomates en hiver!

Les groupes type AMAP, Paniers… se multiplient, mais tous ne sont pas Bio… ni même solidaires.
L’association marseillaise Les Paniers Marseillais fonctionne en réseau, aide les agriculteurs à la reconversion en Bio, développe le principe de solidarité (aléas climatiques, aide à la distribution de paniers, aide à la récolte, fêtes…).
Des principes universels et pas que marseillais.
Ils ont conçu le livre, les conseils et les recettes pour l’ensemble de la France.

Parution 8 juin 2009 en librairie:
Du panier a l’assiette – printemps-ete
Auteurs : Les Paniers Marseillais
Illustratrice : Margot Schleinitz
Prix : 15 E TTC – ISBN : 9782354300159
Diffuseur : De Borée

transformer-son-pain

2 – Transformer son pain en recettes gourmandes

Dans un esprit éthique et écolo de lutte contre le gaspillage, les éditions Gramond publient “Transformer son pain en recettes gourmandes“.
Les auteurs nous livrent des recettes pour récuperer son vieux pain dur ou rassis au lieu de le jeter et en faire de délicieuses recettes. Pain perdu, cookies, gratins… a base de pain. Un  principe original pour ne pas jeter notre aliment de base !

Deja en librairie:
Transformer son pain en recettes gourmandes
Auteurs et photographes : Clotilde et Didier Borgarino
Prix : 19 E TTC – ISBN : 9782354300180
Diffuseur : De Borée

Les éditions Gramond
7, rue Chauvelin — 13005 Marseille
Tél : 04 91 37 90 33

Tous ces livres sont imprimés avec des encres végétales, sur papier recyclé ou FSCP, dans une imprimerie en France qui a le Label Imprim’Vert. Vous pouvez vous les procurer en librairie (n’hésitez pas a commander et a soutenir la petite librairie : les livres sont au même tarif qu’a la Fnac ou à Carrefour) !

3 juin 2009 |
Aller à la barre d’outils