Ingédient pour une soupe de courge Butternut bio pour 3 à 4 personnes
1 courge butternut bio
2 oignons
5 cl de cidre ou de vin blanc
20 g de beurre
1 cuillère à soupe de farine
50 cl de bouillon de poule
1 gousse d’ail
Muscade et 4 épices
Préparation de la Soupe de courge Butternut bio
Dans cette soupe, la douceur de la courge se marie très bien avec la chaleur des épices. N’hésitez pas à rajouter du fromage râpé et des croutons pour faire un repas complet.
Laver la courge. La couper en gros cubes. Dans un faitout, faire revenir les oignons émincés dans le beurre. Saupoudrer de farine et laisser cuire quelques minutes. Verser le bouillon par dessus tout en fouettant afin que la farine ne fasse pas de grumeaux. Ajouter le cidre ou le vin blanc, l’ail, la courge coupée en morceaux, 4 pincées de muscade et de 4 épices. Faire cuire environ 45 mn à petit bouillon. Mixer avec un robot plongeur. Goûter, si besoin, saler (attention le bouillon aura salé l’ensemble), poivrer. Servir bien chaud.
Commentaires fermés sur Les produits bio en grande surface : trop cher !
L’association de consommateurs UFC-Que choisir a publié hier une enquête sur le prix des produits bio en grande surface… Un constat affligeant !
Plus de 1600 magasins ont été passé au crible pour arriver au constat qu’outre le faible nombre de produits proposés, c’est surtout le prix qui rend ces produits bio inaccessibles. Le panier de produits bio à marques de distributeurs (MDD) est 22 % plus cher que le panier de marques nationales conventionnelles. Pire, il est 57 % plus cher que le panier de MDD non bio.
Si une partie de cet écart peut se justifier en toute bonne foi par le fait que les modes de production en agriculture biologique sont plus contraignant et plus couteux (pas de pesticides, pas d’engrais, rendement moindre…), dès qu’un produits se transforme, la filière bio met en avant qualité des ingrédients et des recettes permettant ainsi d’augmenter les prix…
D’autres raisons expliquant ces écarts sont en revanche inadmissibles. Au stade de la production agricole, le montant des aides de la PAC est historiquement lié au rendement à l’hectare, ce qui avantage les modes d’exploitations intensifs au détriment des producteurs biologiques, obligés de vendre plus chers pour équilibrer leur budget.
La grande distribution contribue également à renchérir les fruits et légumes Bio. Alors que la marge est en moyenne de 50 centimes d’Euro pour les pommes standard, elle atteint 1,09 euros pour les pommes Bio. Quant aux carottes, leur marge passe de 80 centimes en conventionnel1 à 1,33 euros pour le Bio !
Le marché des produits biologiques ne doit pas rester un marché de niche, réservé aux ménages les plus aisés, il faut le démocratiser ! En effet, l’objectif de tripler les surfaces cultivées en bio défini par le Grenelle de l’environnement, ne pourra être atteint que s’il est relayé par une augmentation parallèle de la demande des consommateurs.
L’association UFC Que Choisir exige :
Un calcul plus équitable des aides de la PAC, permettant un rééquilibrage des aides en faveur des exploitations en agriculture biologique.
Que la grande distribution rende le bio accessible au plus grand nombre, en augmentant le nombre de références en rayon et en appliquant les mêmes marges que celles qu’elle applique aux produits conventionnels.
Que l’Observatoire des Prix et des Marges éclaire la formation du prix des produits biologiques.
Commentaires fermés sur Bien choisir son panier de fruits et légumes avec Greenzer.fr et Mon-panier-bio.com
Bien choisir son panier de fruits et légumes avec Greenzer.fr et Mon-panier-bio.com
Revue de presse janvier 2010
Le magazine en ligne Greenzer fait le point sur les modes de distribution en circuits courts avec mon-panier-bio.com
“Vous avez décidé de vous abonner à un panier bio pour disposer, chaque semaine, de bons fruits et légumes bio. Mais, entre les AMAP, les Jardins de Cocagne et autres distributeurs privés, vous ne savez pas quel panier bio choisir. Greenzer vous aide à faire les bons choix, avec les conseils de Nicolas Klein, fondateur du site mon-panier-bio.com.“
Commentaires fermés sur Mise à jour de l’annuaire de l’Association Française des Journalistes Agricoles
Annuaire 2009, toujours d’actualite? en 2010!
L’AFJA, Association Franc?aise des Journalistes Agricoles, de l’Alimentation, de l’Environnement et de la Ruralite? vient de re?aliser l’actualisation des fiches de ses membres pour pre?senter le nouveau visage de l’AFJA, a? travers son nouvel annuaire 2009.
Pour cette e?dition 2009, l’annuaire de l’AFJA comporte encore plus de nouveaute?s, de couleurs, de photos, d’informations sur l’AFJA et surtout de nouveaux membres !
L’AFJA regroupe pre?s de 200 adhe?rents collaborant a? la re?daction des journaux et revues spe?cialise?s en agriculture ou des rubriques agricoles d’agences de presse, de la te?le?vision, de la radio, de la presse ge?ne?raliste et d’internet.
Dans cet annuaire au format 135 x 220 (L x H) de 140 pages, les statuts, le re?glement et les activite?s de l’AFJA sont de?taille?es et tous ses membres sont re?pertorie?s en fonction de leurs cate?gories : membres actifs, membres adhe?rents, membres associe?s et honoraires.
Renouvele? tous les deux ans, l’annuaire de l’AFJA, est a? la fois un ve?ritable outil de contact avec la presse et la carte de visite de l’AFJA. Il s’ave?re e?galement e?tre un pre?cieux soutien pour rechercher une information, confirmer un e?ve?nement, asseoir une manifestation, identifier un contact presse rapidement avec ses coordonne?es comple?tes.
Il constitue un guide pre?cieux pour travailler avec les journalistes qui e?crivent dans les me?dias agricoles et s’ave?re tre?s utile pour toutes de?marches de relations presse.
L’annuaire 2009 est vendu au prix de 75 €. Il suffit d’en faire la demande a? l’aide du bon de commande joint ou de vous rendre sur notre site internet www.afja.net.
FOOD, INC. décortique et analyse les rouages d’une industrie qui influence chaque jour notre environnement et notre santé. Des immenses champs de maïs aux rayons colorés des supermarchés, en passant par des abattoirs insalubres, un journaliste mène l’enquête pour savoir d’où viennent les produits que nous consommons tous les jours. Derrière l’image de « produits fermiers », il découvre avec beaucoup de difficultés ce que les lobbys agro-alimentaires tentent de cacher : les vraies conditions d’élevage et d’abattage de nos viandes et volailles. Grâce aux interventions d’experts comme l’auteur de FAST FOOD NATION, cette investigation illustre les dessous d’une industrie qui sacrifie les notions de qualité et de santé pour des considérations de rendement et de profit.
Vous ne regarderez plus votre assiette de la même manière !
Dans les seventies, le top 5 des emballeurs de viande bovine contrôle à peu près 25% du marché. Aujourd’hui, les 4 plus grosses entreprises détiennent plus de 80% de ce marché. Alors que les Etats-Unis possédent des milliers d’abattoirs produisant la majorité du boeuf vendu.
Aujourd’hui, ils ne sont plus que 13. Un supermarché moderne a, en moyenne, 47 000 produits ; la majorité de ceux-ci a été produit par seulement une poignée d’entreprises de l’agroalimentaire. En 1998, le Département de l’Agriculture des USA (USDA) a décidé de faire des tests bactériologiques contre la salmonelle et certains E. coli (bactérie intestinale). Ainsi, si une usine échouait plusieurs fois à ces tests, l’USDA pouvait la faire fermer. Après avoir été traîné au tribunal par les associations de producteurs de viandes et de volailles, le Département de l’Agriculture n’a désormais plus ce pouvoir. En 2007, 73 000 personnes ont été atteintes du virus E. coli. En 1972, l’Administration de l’Alimentation et des Drogues (FDA) a conduit 50 000 inspections sanitaires. En 2006, ce nombre est tombé à 9164 contrôles. Sous l’administration Bush, la FDA avait à sa tête l’ancien vice-président de l’Association Nationale des Robots de Cuisine. Toujours, sous Bush, le chef d’équipe de l’UDSA était un ancien chef du lobby de l’industrie bovine à Washington. Avant de se reconvertir dans l’agro-business, Monsanto était une industrie chimique qui a produit, entre autres choses, des pesticides (DDT) et l’Agent Orange (un défoliant utilisé pendant la guerre du Vietnam). Le juge de la Cour Suprême, Clarence Thomas était un avocat de Monsanto à la fin des années 70. Alors qu’il était en poste à la Cour Suprême, Mr Thomas a écrit, dans une affaire, une opinion majoritaire qui a aidé Monsanto à faire respecter ses brevets de semences. Avec 32 000 cochons tués par jour, l’entreprise Smithfield de Tar Heel en Caroline du Nord est le plus gros abattoir du monde. En moyenne, un américain mange plus de 90 kg de viandes pas an. 30% des terres américaines servent aux plantations de maïs. 1 américains sur 3, né après 2000 va contracter un diabète précoce.¨Pour les minorités, ce ratio peut monter à 1 sur 2.
Un sujet tabou
Food, Inc. a représenté un véritable challenge pour son réalisateur. En effet, lors de ses investigations, Robert Kenner s’est vu refuser l’accès à de nombreuses industries de l’agro-alimentaire. Sa productrice Elise Pearlstein avoue même “qu’il aurait été plus simple de pénétrer dans le Pentagone que d’entrer dans une compagnie qui fait des céréales de petits-déjeuners.” Face à ce tabou de la part des principaux protagonistes nationaux, l’équipe du film a dû assurer ses arrières, notamment en se référant constamment au premier amendement de la constitution américaine lors de la progression du film.
Un tournage de longue haleine
Le tournage d’un documentaire demande toujours du temps, notamment dû à l’investigation. Dans le cas de Robert Kenner et de son équipe, quelques obstacles ont freiné leur travail : “Depuis que Eric Schlosser et moi avons commencé à en parler, cela a pris six à sept ans. Mais le film en lui-même, c’est deux ans et demi de travail. Cela a pris plus de temps que nous le pensions car on nous a interdit d’entrer dans beaucoup d’endroits.”
Commentaires fermés sur NéoPlanète : Où dénicher son panier de légumes de saison ?
NeoPlanete article sur mon-panier-bio.com
Revue de presse mon panier bio janvier 2010
Vu sur NéoPlanète, le magazine, webzine et radio de Yolaine de la Bigne, dans un article intitulé “Où dénicher votre panier de légumes de saison ?”, on y retrouve notre portail des distributeurs de paniers de fruits et légumes 😉
“(…) Pratique Un annuaire en ligne répertorie tous les sites proposant des paniers de fruits et de légumes bio partout en France : www.mon-panier-bio.com (…)”
Commentaires fermés sur 2010, l’année des paniers bio
2009 s’est achevée sur l’échec de la conférence de Copenhague sur le réchauffement climatique, la taxe carbone a été retoquée, le film Home de Yann Arthus-Bertrand à été un succès planétaire…
Les produits bio font de plus en plus d’adeptes et c’est tant mieux ! Mon panier bio poursuit son chemin et propose de jours en jours de nouveaux distributeurs de paniers de fruits et légumes bio, fruits et légumes de saison… Les initiatives pour devenir distributeur de paniers bio se multiplient dans toutes les régions de France, ce qui est signe de la vitalité de la demande, du dynamisme des agriculteurs convertis dans l’agriculture biologique, et de la volonté d’entreprendre dans de nouveaux métiers…
Nous souhaitons que 2010 soit encore une année où vous serez de plus en plus nombreux à manger bio, local et de saison pour votre santé et celle de la Terre….
Alors bonne année et bonne santé à tous !
Pour trouver un panier bio à coté de chez vous, consultez l’annuaire des paniers bio, tous les distributeurs de fruits et légumes y sont classés par départements…
Petit bonus : le calendrier des fruits et légumes de saison pour vous aider à mieux consommer :
(calendrier des produits bio de saison : source Agence Bio)
Préchauffer le four à 180 °C.
Brosser et laver soigneusement les pommes de terre et les panais. Les couper en rondelles épaisses, faire cuire les pommes de terre dans de l’eau salée, au bout de 10 min de cuisson, ajouter les panais. Laisser cuire 5 min puis égoutter le tout.
Dans un plat à gratin, disposer les rondelles de panais et de pommes de terre en couches alternées. Ajouter entre les couches le cumin, un peu de fromage râpé, l’ail écrasé et les lardons.
Saler et poivrer.
Napper de crème, recouvrir du reste de fromage puis de chapelure, parsemer la surface de quelques morceaux de beurre et faire gratiner 20 à 30 minutes au four.