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Mon panier bio sur le site du Ministère de l’Alimentation et de l’Agriculture

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Un article sur mon-panier-bio.com sur le site du Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et de la Pêche

Un article sur mon-panier-bio.com sur le site du Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et de la Pêche

C’est à l’occasion de la publication (le 23 juillet 2010) d’un dossier complet au sujet du succès des nouveaux modes d’achat que sont les circuits courts, le E-commerce et la vente aux paniers que le Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la Pêche s’est arrêté sur mon-panier-bio.com pour y consacrer un article !

Une belle reconnaissance pour notre site qui est devenu incontournable 😉

Cet article est le prolongement “pratique” du dossier dont voici le sommaire du dossier :

Alimentation : Les nouveaux modes d’achat

Envie de manger plus frais, plus goûteux, de consommer local, de connaître l’origine des aliments et la façon dont ils sont produits, de se réapproprier son alimentation…

Le plan circuits courts : Interview de Catherine Rogy, du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche

Phénomène en vogue, les circuits courts attirent de plus en plus de consommateurs, désireux d’une alimentation de qualité. Les pouvoirs publics conscients de l’enjeu d’une telle pratique ont mis en place un plan d’action afin d’en favoriser le développement. Lire l’article

Vente à la ferme : L’atout du périurbain

Afin de valoriser les produits en vente directe, Jean-Yves Guitteny, maraîcher, a déménagé son exploitation de quelques mètres, aux portes de la ville. Et c’est un succès ! Lire l’article

Commerces de proximité : « Préférez local, on y gagne tous » en Ille-et-Vilaine

15 agriculteurs, 10 commerçants, 6 bourgs … Voici les principaux acteurs d’une opération unique en France. Lire l’article

Grande surface : Traditions Maraîchères, du frais en direct de Reims

A Taissy, aux portes de Reims (Marne), Fabrice Watier cultive ses légumes en plein champ sur 18 hectares et vend directement sa production aux deux centres commerciaux de la ville, sous le label « Tradition maraîchère ». Enquête sur un nouveau style de circuit court. Lire l’article

Internet : Poissonfrais.fr « La pêche du bateau chez vous en 24 heures »

Grâce à l’idée ingénieuse d’une famille de pêcheurs, les Internautes en mal de poissons se font livrer moules, soles ou langoustines en 24 heures, directement dans leur assiette. Explication d’un e-phénomène en vogue. Lire l’article

Vente ambulante : Ecomiam, la viande surgelée version discount

Envie de bœuf de qualité à volonté, à moindre coût ? C’est désormais possible grâce à l’action militante des créateurs d’Ecomiam. Lire l’article

Reportage : La Charrette Bio

Dans le bassin grenoblois, une poignée d’agriculteurs s’est organisée pour créer une “Charrette Bio”, petit camion itinérant qui livre une grande variété de produits biologiques et locaux en différents points de la ville. Lire l’article

Vente au panier : Au début étaient les AMAP…

Circuit court qui se définit comme un partenariat local et solidaire, le réseau AMAP Île-de-France est en plein développement. Né en 2004, le réseau s’est considérablement étendu. Aujourd’hui ce sont plus de 120 groupes de consommateurs qui travaillent chaque semaine avec près de 70 producteurs. Retour sur une histoire d’amour avec la nature, teintée d’humanisme. Lire l’article

Reportage : Les jardins de Cocagne

Créés pour favoriser l’insertion socioprofessionnelle d’adultes en difficulté, les Jardins de Cocagne ont su tisser un nouveau lien entre l’exploitation agricole et le consommateur. Les fruits et légumes, cultivés et récoltés, sont vendus en paniers aux consommateurs locaux. Rendez-vous à Vernon, dans l’Eure, à l’Arbre aux légumes. Lire l’article

Pratique : Où trouver des paniers de fruits et légumes près de chez moi ?

Mon-panier-bio.com facilite la vie des Internautes en répertoriant tous les sites de vente directe. Une initiative bienvenue face à la multiplication des sites privilégiant les circuits courts. Lire l’article consacré à mon-panier-bio.com

Fruits et légumes : Une enquête du Ctifl sur le e-commerce

Constatant que le e-commerce avait franchi en 2008, un nouveau cap avec près de 20 milliards d’euros de chiffres d’affaires, le Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes (Ctifl) a enquêté sur le commerce spécifique des fruits et des légumes sur Internet. Alors, quel est l’intérêt pour ce secteur de surfer sur la vague « Web » ? Quelles sont les motivations de ces cyber-producteurs ? Lire l’article

A découvrir : Une nouvelle tribu « les locavores »

Manger des produits de proximité pour réduire les dépenses en énergie, retrouver les goûts du terroir et respecter le principe de saisonnalité apparaît. Ce nouveau mode de consommation, axé sur le « local » est revendiqué par de nombreux consommateurs. Certaines personnes vont beaucoup plus loin en poussant la tendance à son paroxysme : on les appelle les locavores. Lire l’article

26 juillet 2010 |

Bio : la guerre des prix !

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fnab-prix-du-bioCommuniqué de presse de la FNAB :

La bio, victime collate?rale de la guerre commerciale entre ge?ants de la grande distribution?

La majorite? des enseignes de la grande distribution et du hard discount proposent aujourd’hui des gammes de produits biologiques. Pour cela, certaines se sont lance?es dans une bataille commerciale afin de proposer des prix toujours plus bas… Quelles seront les conse?quences pour les consommateurs et les producteurs ? La Fe?de?ration Nationale d’Agriculture Biologique des re?gions de France tire la sonnette d’alarme.

Explications.
L’enseigne Auchan a lance? l’offensive en proposant depuis mai dernier 50 aliments bio a? moins d’1 euro. L’enseigne Leader price (groupe Casino) a re?pondu en re?alisant une campagne publicitaire la positionnant moins che?re que deux enseignes nationales sur un panier de 29 produits. Leclerc a attaque? a? son tour en lanc?ant un site internet visant a? comparer les prix des produits bio de marques nationales ou distributeurs.

Cette strate?gie, qui n’est pas poursuivie par toutes les enseignes, s’appuie sur la croissance continue des achats de produits biologiques y compris en temps de crise, une tendance significative d’une modification des habitudes alimentaires des consommateurs. Si moins de 50% des produits bios sont achete?s en GMS, il s’agit de capter une cliente?le croissante et de surfer dans le me?me temps sur la vague de la « consommation responsable ».

Comment de?s lors ne pas souscrire aux messages de « de?mocratisation » de la bio porte? par les « lois naturelles » de la concurrence e?conomique ? Si cette bataille commerciale est avant tout une ope?ration publicitaire, elle s’appuie sur des me?canismes de?ja? subis par les paysans qui pourraient bien avoir des conse?quences destructrices sur la filie?re bio. Il faut se souvenir que la «guerre des prix» commence?e dans les anne?es 70 a profonde?ment modifie? le syste?me agro-alimentaire avec la double concentration des fournisseurs et des distributeurs. Voudrait-on aujourd’hui, a? la faveur d’une nouvelle crise e?conomique, appliquer cette strate?gie implacable a? la bio ?

A un objectif “du plus bas prix” il faut substituer un objectif du “juste prix” dans l’inte?re?t de toutes les parties prenantes : citoyen, producteurs, transformateurs et distributeurs. Les enseignes qui lancent la guerre des prix de la bio sans autre forme de conside?ration pour les enjeux e?conomiques, environnementaux et sociaux d’une telle strate?gie, portent une responsabilite? importante dans la fragilisation de la filie?re dans son ensemble.

D’autres me?canismes sont possibles, comme le de?montrent plusieurs expe?rimentations mises en place entre des groupements de producteurs bio et des enseignes de distribution spe?cialise?es (outils de planification des cultures et de lissage des prix). Face a? leurs besoins d’approvisionnement qualitatif, des enseignes de la grande distribution contribuent aussi a? la structuration de filie?res durables assurant une juste re?mune?ration des producteurs. Ces de?marches, au plus pre?s des territoires, visent des objectifs indissociables de qualite? des produits, de se?curite? des approvisionnements, de re?mune?ration des producteurs et de rationalisation des cou?ts (du mode de production aux questions logistiques).

Face a? la crise structurelle de l’agriculture provoque?e notamment par les logiques e?conomiques de la GMS, la loi de modernisation de l’agriculture adopte?e le 13 juillet dernier pre?voit le de?veloppement des contractualisations et cre?e?e un observatoire des marges et des prix. A l’occasion de l’examen du projet de loi a? l’Assemble?e nationale, Bruno Lemaire, ministre de l’agriculture, a e?te? clair sur cette logique destructrice : « Comment accepter que les producteurs soient syste?matiquement la variable d’ajustement de la filie?re commerciale en France ? Comme si on pouvait toujours tirer le prix le plus possible vers le bas, comme si on pouvait oublier que la qualite? du produit, la se?curite? sanitaire et le respect de l’environnement ont un cou?t pour nos producteurs et que c’est les producteurs qui payent pour cela (…) ».

Si la re?gulation du syste?me agro-alimentaire est en effet ne?cessaire, les rapports de force e?conomiques e?tablis ne seront pas remis en cause par cette loi. La bio, dont les spe?cificite?s n’ont pas e?te? prises en compte dans ce texte, doit continuer a? proposer de nouvelles alliances objectives entre citoyens, producteurs et les acteurs e?conomiques de la transformation et de la distribution. Ces innovations socio- e?conomiques ne pourront se pe?renniser que par une forte volonte? du consomm’acteurs et la multiplication des de?marches des enseignes en ce sens. Les paysans bios n’imaginent pas de?velopper la bio autrement que dans des nouveaux rapports sociaux qui pre?servent l’inte?re?t et le revenu de chacun des acteurs de la filie?re.

Un autre type d’e?conomie et de rapports sociaux sont possibles, qui veut y travailler ?

Plus d’info sur le site de la FNAB

21 juillet 2010 |

Une déclaration europénne pour une meilleure alimentation

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Nous, soussignés, croyons que l’Union Européenne a besoin de répondre aux défis urgents auxquels l’Europe est confrontée en matière d’agriculture et d’alimentation….

Pas moins de 333 associations écologistes ont récemment mis en ligne un site internet, exigeant une “politique agricole et alimentaire commune, saine, durable et solidaire” :

www.europeanfooddeclaration.org

declaration-alimentation-europeenneToutes les associations ayant participé à la rédaction de cette déclaration (entre autre Greenpeace, Friends of the Earth, Via Campesina…) revendiquent le retour à l’agriculture paysanne et la reconnaissance de la souveraineté alimentaire dans les accords commerciaux…

Nous représentons une grande diversité d’organisations qui sont inquiètes de l’avenir de l’alimentation et de l’agriculture en Europe. Comme dans d’autres régions du monde, de plus en plus de personnes militent pour système alimentaire durable, plus équitable et plus participatf. Nombreuses d’entre elles sont engagées activement dans la construction d’une alternative viable aux mécanismes actuels de production, distribution et consommation alimentaire- et ce depuis la base. Ce nouveau système de production alimentaire et d’agriculture est résolument bâti sur un certain nombre de fondamentaux : l’équité, le droit universel à l’alimentation, la démocratie et la transparence.(…)

Nous avons élaboré une Déclaration alimentaire européenne : « Pour une Politique Agricole et Alimentaire Commune saine, durable, juste et solidaire. Elle décrit les lignes directrices dont nous pensons qu’elles doivent former la base des objectifs de la PAC pour les décennies à venir.

Cette déclaration est la première étape dans notre effort pour construire un large mouvement en vue d’obtenir des politiques et des pratiques de souveraineté alimentaire en Europe, Union Européenne incluse. Nous préparons également un forum européen en 2011, qui rassemblera des personnes et des organisations motivées par ces questions et qui veulent unir leurs forces afin de parvenir ensemble à nos objectifs communs. Si vous êtes intéressé(e) par la préparation de ce forum ou pouvez nous apporter une aide dans son organisation, merci de nous contacter.

Lire la suite sur www.europeanfooddeclaration.org

En attendant que le projet avance, continuez à manger bio 😉

16 juin 2010 |

Des fermes bio alsaciennes vous ouvrent leurs portes !

Commentaires fermés sur Des fermes bio alsaciennes vous ouvrent leurs portes !
printemps bio alsace

printemps bio alsace

Jusqu’au 15 juin prochain, profitez du printemps bio en Alsace !

Au programme du printemps bio en Alsace pour les jours à venir :

12 juin à WOLXHEIM

Biodiversite? et Vins au domaine LISSNER
Promenade dans les vignes, herborisation, de?gustation
En fin de reconversion a? l’agriculture biologique, nous recherchons depuis 2002 l’e?quilibre et la sante? de nos 5000 pieds de vigne par des pratiques agronomiques base?es sur la connaissance et le respect du vivant, entre flore et faune sauvage, spe?cifiques a? chaque terroir, qui se succe?dent au rythme des saisons.
En cave e?galement nous poursuivons notre que?te de vins authentiques. Depuis le mille?sime 2007, ni chaptalisation, ni levurage, ni enzymage ou acidification…. Notre seul intrant reste les sulfites que nous nous efforc?ons de re?duire au minimum. Des raisins cueillis mu?rs, de?pose?s entier dans le pressoir et des fermentations spontane?es pour des vins qui restent type?s et conformes a? leurs origines.

  • Animations Printemps Bio :

Samedi 5 et samedi 12 juin, 14h a? 18h. Gratuit, ouverture a? tout public, parcours fle?che?
Inscription limite?e a? 40 personnes, te?l. 03 88 38 10 31 ou info@lissner.fr
Contact ANIMATION I Bruno SCHLOEGEL / 03 88 38 10 31 / e-mail : info@lissner.fr / site : www.lissner.fr /

12, 13 & 14 juin à WETTOLSHEIM

Domaine STENTZ-BUECHER, 21 rue Kleb, 68 920 WETTOLSHEIM
Portes ouvertes au domaine Stentz-Buecher
Un nouveau rendez-vous de?sormais fixe? au second week-end de juin. Un moment agre?able dans la convivialite? et la bonne humeur lors des portes ouvertes sur ces 3 jours. Durant ces portes ouvertes, nous accueillerons quelques producteurs locaux en culture biologique (miel, confitures, jus de pommes et autres produits transforme?s).
Pour l’organisation du de?jeuner de dimanche merci de nous confirmer votre pre?sence par courrier, accompagne? de votre re?glement, pour le 10 juin.

  • Animations Printemps Bio :

Samedi 12 juin, a? partir de 16h : De?gustation comple?te et commente?e, visite de Cave, tartes flambe?es, animation musicale jusqu’a? 22h. Dimanche 13 & lundi 14 juin, a? partir de 11h30 : ape?ritif. – Les ATELIERS DES 4 ELEMENTS par Henri Gagneux – Restaurant La Palette a? Wettolsheim.
Prix : 30,00 euros par personne. – Visite de Cave et de?gustation commente?e. – Tartes flambe?es tout au long de la journe?e du dimanche.
Contact ANIMATION I Domaine STENTZ-BUECHER / Te?l. : 03 89 80 68 09 / Fax : 03 89 79 60 53 / e-mail : stentz-buecher@wanadoo.fr / site : www.stentz-buecher.com

20 juin à URBEIS

Ferme Humbert, 83 rue Principale
La Ferme Humbert
Pour ses vingt ans, la ferme Humbert vous ouvre ses portes.

  • Animations Printemps Bio :

Portes ouvertes le 20 juin 2010, de 10 heures a? 18 heures. Possibilite? de pique-niquer sur place, cre?pes sale?es et sucre?es, glaces. Marche? paysan. Expositions : 20 ans d’agriculture bio en montagne • Pre?sentation de l’Association Foncie?re Pastorale • Un artiste vous pre?sentera des tableaux «nature».
Marche? & Promenade : Chemin du patrimoine : «Urbeis une histoire de temps», marche destine?e aux bons marcheurs, pre?voir 2 heures. Acce?s au Cha?teau du Bilstein • Promenade sur le «Chemin des Aviats», accessible depuisla ferme, tre?s belle vue sur le village. Pre?voir 1h30. Animations : De?couverte du feutrage de la laine, atelier pre?vu a? 11h, 14h, et 16h avec Sandrine Cardon • Ballades a? dos d’a?nes avec la Ferme de la Fontaine ( Fouchy) • Interme?des musicaux.
Contact ANIMATION Ite?l.:0388570600/re?p.0388573333/ e-mail : biofermehumbert@wanadoo.fr / site : www.biofermehumbert.com

Liste des marchés paysan biologique en Alsace

  • LES VERGERS d’ARLETTE : jus de pomme, eaux de vie, pommes se?che?es, vinaigre de pommes, confitures, etc.
  • DOMAINE YVES AMBERG : vins d’Alsace biologique.
  • GAEC DES 3 CHENES Wintersbourg : fromages che?vres, vaches,saucisses, pa?te?s, etc.
  • LA FERME AUX SEPTS GRAINS – Daniel Starck : pains bio au levain cuits au feu de bois.
  • ANNE ET NICOLAS PAULEN : confitures.
  • HARTMANN REMY – Altwiller : yaourts.
  • SOLAZ BERNARD – Illkirch : condiments, confits d’ail, tapenades, pa?te? ve?ge?tal, etc.
  • SA?GEREI HANBUCH – AIO : planches a? de?couper, objets divers (bois).
  • AQUATIRIS : toilettes se?ches, phyto e?puration, etc. • ROUH PIERRE : plants de le?gumes.
  • LES ASTUCES DE LA NATURE : fabricant de chapeaux, bijoux en bois.
  • NATURE AROMATIQUE : production et transformation de plantes aromatiques et me?dicinales.
  • KURT DES BESENMACHER : fabricant de balais-brosses, etc. Et sous re?serve stands de le?gumes-vin-laine de mouton etc….

Printemps BIO 2010

Actions des restaurateurs a? l’occasion du Printemps Bio en Alsace :

  • Restaurant La Parenthe?se 26 rue de la Justice, 68100 Mulhouse
  • Restauration Bio • Cave Au Mille?sime 7 rue du temple Neuf, 67000 Strasbourg, 03 88 22 30 20
  • Pre?sentation vins bio • Cave Vinum Nature 1 rue de Bischwiller, 67410 Drusenheim, 03 90 55 65 91
  • Pre?sentation vins bio • Restaurant Villa Rosa 4 rue Thierry Schoerre?, 68410 Trois Epis, 03 89 49 81 19
  • Restauration Bio • Domaine Becker route d’Ostheim, 68340 Zellenberg, 03 89 47 90 16
  • Repas caritatif bio accompagne? de vins du domaine, portes ouvertes de la cave

Les action du printemps bio en Alsace sont organisée avec l’aide de l’OPABA

Cre?e?e en 1980, l’OPABA est l’Organisation Professionnelle de l’Agriculture Biologique en Alsace. L’OPABA est aussi un syndicat professionnel qui rassemble tous les agriculteurs biologiques et biodynamiques alsaciens. Il est e?galement ouvert aux transformateurs et distributeurs de la filie?re biologique alsacienne. La vocation de l’OPABA est de de?velopper une agriculture biologique de qualite? ouverte
a? tous. Le but de l’OPABA est d’organiser, promouvoir et de?velopper l’agriculture biologique en Alsace. Pour atteindre son but, l’OPABA s’est fixe?e plusieurs objectifs :

  • Ame?liorer la production biologique re?gionale sur le plan quantitatif et qualitatif.
  • Accompagner et de?fendre les inte?re?ts e?conomiques, juridiques et moraux des producteurs qui pratiquent l’agrobiologie.
  • Mieux structurer la filie?re.
9 juin 2010 |

Fête des AMAP 2010 en Ile de France

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Une 3e e?dition inscrite sous le signe de la biodiversité

fête des amap 2010

fête des amap 2010

Le réseau des associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) d’I?le-de- France re?ite?re cette anne?e son grand rassemblement annuel. Après le succès des 2 premières éditions, quoi de plus naturel !

Les objectifs de ce grand rassemblement sont toujours les mêmes, et c’est pour ça qu’on apprécie !

  • De?fendre et promouvoir aupre?s du grand public une agriculture respectueuse de l’environnement, de la sante? et de l’Homme, en privile?giant un mode de production naturel ainsi que la proximite? et le lien direct avec les paysans.
  • Une occasion pour les Amapiens d’I?le-de-France de se rencontrer et d’e?changer sur leurs enjeux re?gionaux mais aussi nationaux et internationaux. Cette anne?e, le the?me de re?flexion se portera sur la biodiversite? cultive?e (2010 est en effet l’anne?e internationale de la biodiversite?).
  • Un plaisir de se retrouver, et ce?le?brer un re?seau soude?, compose? de «consom’acteurs» et paysans producteurs.

L’Amap IdF largue le 30 mai prochain ses amarres au 55 Quai de Seine, dans le 19e arrondissement de Paris. Ancre?e solidement sur la pe?niche Antipode, elle accueille de 10 h a? 21 h ses Amapiens, ainsi qu’un plus large public a? qui elle propose un programme riche en animations ludiques et pédagogiques (l’entre?e est libre) : des tables rondes, des rencontres organisées avec des acteurs engagés, des dégustations et des spectacles musicaux… On pourra même assister au spectacle de Charlotte NormandCharlotte Normand se met au vert” !

Pour en savoir + sur la Fête des AMAP 2010 de l’Ile de France, rendez-vous sur : www.amap-idf.org

11 mai 2010 |

Le guide du Locavore : une expérience pour mieux consommer local !

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Mêlant réflexion et expérience personnelle, Anne-Sophie Novel (EcoloInfo entre autre…) nous fait partager avec son Guide du Locavore ce mode de consommation durable et responsable… Mais qu’est-ce que le locavorisme ?
guide-de-locavore

Un locavore se défini comme un aventurier culinaire consommant des produits dont la provenance est à moins de 160 km de leur habitation. Pourquoi manger local pourriez vous vous demander ! Tout simplement afin de réduire le coût écologique induit par le voyage des denrée alimentaires et d’en maîtriser la traçabilité.

Le terme « locavore » a été inventé par Jessica Prentice de San Francisco en 2005 à l’occasion de la journée mondiale de l’environnement, qui a proposé aux résidents locaux d’essayer de manger seulement les aliments cultivés ou produits à l’intérieur d’un rayon de 160 kilomètres.

Le New Oxford American Dictionary a défini « locavore », comme étant une personne qui recherche des produits alimentaires locaux. « Locavore » fut le mot de l’année 2007.

Un guide pour devenir locavore en douceur…

Anne-Sophie commence tout d’abord par nous éclairer sur les problèmes de la perte de contrôle sur alimentation d’aujourd’hui, le cercle vicieux de l’agriculture intensive, des OGM, de la réduction des variétés de fruits et légumes dans notre assiette, de l’appauvrissement de l’économie locale… Un mise en bouche bien documentée !

On passe ensuite au guide pratique : comment devenir un parfait locavore avec les changements que cela comporte dans notre quotidien… Déterminer sa zone d’approvisionnement, scruter l’étiquetage des produits, se réapproprier les saisons, connaitre les labels, retrouver le plaisir de cuisiner (des recettes de saison sont également disponibles !)… Pour continuer, toutes les bons plans sont recensés pour faciliter votre nouvelle vie de locavore avec notamment un paragraphe consacré au site mon-panier-bio.com, mais aussi un petit annuaire des autres bonnes adresses du web pour s’approvisionner ou encore trouver un restaurant, s’occuper de son jardin potager…

Pour le dessert, Anne-Sophie propose un mémo pratique du locavore avec un calendrier des saisonnalités, les périodes de reproduction des poissons et encore un tableau des spécialités par régions… !

Anne-Sophie Novel

Anne-Sophie Novel

Plutôt bio, plutôt local ou plutôt bio et local ?

Cette question, nous nous la sommes posé longtemps sur le site mon-panier-bio… Anne Sophie arrive aux même conclusions que nous : Une question difficile à laquelle il appartient à chacun de trouver la réponse en fonction de ses attentes. N’hésitez pas à posez des questions aux distributeurs de paniers bio sur la provenance de leurs produits, les producteurs (certains peuvent être en cours de conversion, en agriculture raisonnée..). L’idéal sera évidemment de trouver des produits bio et locaux !

En bref

Goûter la différence, préserver la (bio)diversité, se reconnecter avec les saisons, découvrir de nouvelles saveurs, redécouvrir son territoire, soutenir les petites exploitations et de bonnes conditions de travail, investir dans l’économie locale, être en bonne santé et sauver la planète… Vous allez bientôt comprendre pourquoi vos achats déterminent notre avenir  !

Au sommaire du Guide du Locavore :

  • Du global au local
  • Pourquoi changer?
  • Le guide du parfait petit locavore
  • Méthodologie pour locavore appliqué
  • Plus d’un tour dans mon sac
  • Le mémo pratique du locavore
  • Sélection de livres
  • Sélection de sites Internet

Cliquer ici pour acheter Le guide du locavore pour mieux consommer local, pour prolonger le livre et les discussions : Locavore’Spirit

18 avril 2010 |

Demain, tous « locavores » ? Avec Wiki2d et mon-panier-bio.com

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Interview wiki2d mon-panier-bio.com

Interview wiki2d mon-panier-bio.com

Revue de presse avril 2010

Interview de Nicolas KLEIN (mon-panier-bio.com) pour Wiki2d (groupe La Provence) :

“Surfant sur la popularité des Amap (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne), une multitude d’associations et d’entreprises ont repris le concept du panier. Ainsi, Mon-panier-bio.com, le premier annuaire permettant de trouver des paniers de fruits et légumes sur Internet, recense près de 220 sites dans toute la France, dont une quarantaine de distributeurs en Provence-Alpes-Côte d’Azur…”

Lire l’interview complète ici : http://www.wiki2d.org/les-bonnes-pratiques/sante-et-environnement/alimentation/demain-tous-%C2%AB%C2%A0locavores%C2%A0%C2%BB%C2%A0-5-e-paniers%C2%A0-les-primeurs-sur-la-toile/

A propos de wiki2d :

Wiki, parce que sans être un véritable wiki sur le plan de sa technologie, ce site est conçu pour constituer une base de données collaborative, mutualisant les expériences et les initiatives.

2D, par que « Développement Durable », c’est décidément trop long à saisir dans la fenêtre d’un navigateur !

Wiki2D est donc un système d’information permettant de recenser, d’exposer et de partager les bonnes pratiques en matière de Développement Durable en région Provence Alpes Côte d’Azur et Corse, à l’attention des professionnels et du grand public.

Wiki2D est un projet citoyen, financé par des partenaires eux-même engagés dans un process de Développement durable et soucieux d’aider à promouvoir les bonnes pratiques et l’information. Le site est organisé autour d’un blog participatif, soutenu et relayé par le groupe La Provence au travers de son quotidien et de la rubrique développement durable de son site laprovence.com.

13 avril 2010 |

Pesticides et cancers chez les agriculteurs

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Le Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) prouve par le biais d’une étude qu’il existe un lien de causalité entre l’exposition des agriculteurs aux pesticides et certains cancers du sang. C’est à l’occasion du colloque organisé par la  Ligue contre le cancer , vendredi 5 février dernier, que les faits ont été exposé.

pesticides

pesticides

Premier utilisateur de pesticides (herbicides, insecticides et fongicides) en Europe, la France est 3ème dans le classement mondial. Le cancer est la première cause de mortalité dans le monde et pourrait provoquer la mort de 84 millions de personnes entre 2005 et 2015 selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

L’exposition aux pesticides en milieu agricole, ainsi qu’aux dioxines et aux solvants organiques, est considérée depuis longtemps comme un facteur de risque accru de lymphomes. Le lymphome folliculaire est ainsi en augmentation de 3 à 4 % par an depuis une trentaine d’années. Ce type de cancer du sang incurable représente la cinquième cause de mortalité par cancer au niveau national. Même si le lien de cause à effet est encore débattu, certains chercheurs pensent tenir aujourd’hui la “preuve biologique”. En effet, aucun scientifique n’avait jusqu’à présent attesté d’un lien de cause à effet entre exposition des pesticides et santé des agriculteurs. L’étude du Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) vient confirmer le doute.

En novembre 2008, les chercheurs Bertrand Nadel et Sandrine Roulland avaient dévoilés leurs premiers travaux. Ils montraient que sur une période moyenne de dix ans, les agriculteurs exposés aux pesticides présentaient dans le sang une fréquence de cellules transloquées pouvant être jusqu’à 1 000 fois supérieure à la normale, ainsi qu’une augmentation des lymphocytes B en circulation.

La translocation est un échange de matériel génétique entre les chromosomes 14 et 18, qui existe aussi chez des individus en bonne santé, mais qui peut être considérée comme précurseur de cancer.

Cette nouvelle étude (Agrican) biomoléculaire du Centre d’immunologie de Marseille-Luminy (CMIL), élaborée en association avec les épidémiologistes du Centre François Baclesse, a été réalisée ces cinq dernières années sur 144 agriculteurs exposés aux pesticides. Elle révèle l’existence d’un lien de causalité avéré entre l’exposition aux pesticides et l’origine de certains cancers chez les agriculteurs, souligne la Ligue contre le cancer.

L’équipe du CMIL a constaté que, par rapport au reste de la population, “les agriculteurs exposés aux pesticides développent dans leur génome 100 à 1 000 fois plus de cellules anormales, qui peuvent ensuite éventuellement se transformer en lymphome folliculaire” (un certain type de cancer du sang). (Cette étude est parue dans un article du Journal of Experimental Medecine du 8 juin 2009)

Il est donc maintenant prouvé que les agriculteurs exposés aux pesticides présentent des anomalies chromosomiques pouvant favoriser le développement d’un lymphome ou cancer du système immunitaire.

Selon Sandrine Roulland et Bertrand Nadel, chercheurs marseillais du CMIL :

Nos résultats apportent une vision nouvelle des étapes de progression vers le lymphome tout en mettant l’accent sur le rôle majeur de l’exposition agricole aux pesticides dans les étapes de progression

Le Ciml

Le Centre d’Immunologie de Marseille-Luminy (CIML), Unité Mixte de Recherche du CNRS, de l’Inserm et de l’Université de la Méditerranée a été créé en 1976. Il est situé sur le Parc Scientifique et Technologique de Luminy, entre Marseille et Cassis, sur la côte méditerranéenne.

En savoir + :  www.ciml.univ-mrs.fr

15 février 2010 |

Les produits bio en grande surface : trop cher !

Commentaires fermés sur Les produits bio en grande surface : trop cher !

panier bio grande surfaceL’association de consommateurs UFC-Que choisir a publié hier une enquête sur le prix des produits bio en grande surface… Un constat affligeant !

Plus de 1600 magasins ont été passé au crible pour arriver au constat qu’outre le faible nombre de produits proposés, c’est surtout le prix qui rend ces produits bio inaccessibles. Le panier de produits bio à marques de distributeurs (MDD) est 22 % plus cher que le panier de marques nationales conventionnelles. Pire, il est 57 % plus cher que le panier de MDD non bio.

Si une partie de cet écart peut se justifier en toute bonne foi par le fait que les modes de production en agriculture biologique sont plus contraignant et plus couteux (pas de pesticides, pas d’engrais, rendement moindre…), dès qu’un produits se transforme, la filière bio met en avant qualité des ingrédients et des recettes permettant ainsi d’augmenter les prix…

D’autres raisons expliquant ces écarts sont en revanche inadmissibles. Au stade de la production agricole, le montant des aides de la PAC est historiquement lié au rendement à l’hectare, ce qui avantage les modes d’exploitations intensifs au détriment des producteurs biologiques, obligés de vendre plus chers pour équilibrer leur budget.

La grande distribution contribue également à renchérir les fruits et légumes Bio. Alors que la marge est en moyenne de 50 centimes d’Euro pour les pommes standard, elle atteint 1,09 euros pour les pommes Bio. Quant aux carottes, leur marge passe de 80 centimes en conventionnel1 à 1,33 euros pour le Bio !

Le marché des produits biologiques ne doit pas rester un marché de niche, réservé aux ménages les plus aisés, il faut le démocratiser ! En effet, l’objectif de tripler les surfaces cultivées en bio défini par le Grenelle de l’environnement, ne pourra être atteint que s’il est relayé par une augmentation parallèle de la demande des consommateurs.

L’association UFC Que Choisir exige :

  • Un calcul plus équitable des aides de la PAC, permettant un rééquilibrage des aides en faveur des exploitations en agriculture biologique.
  • Que la grande distribution rende le bio accessible au plus grand nombre, en augmentant le nombre de références en rayon et en appliquant les mêmes marges que celles qu’elle applique aux produits conventionnels.
  • Que l’Observatoire des Prix et des Marges éclaire la formation du prix des produits biologiques.

Source : www.quechoisir.org

Illustration : grinfen – Fotolia.com

27 janvier 2010 |

Mise à jour de l’annuaire de l’Association Française des Journalistes Agricoles

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Annuaire 2009, toujours d’actualite? en 2010!

afja-2009L’AFJA, Association Franc?aise des Journalistes Agricoles, de l’Alimentation, de l’Environnement et de la Ruralite? vient de re?aliser l’actualisation des fiches de ses membres pour pre?senter le nouveau visage de l’AFJA, a? travers son nouvel annuaire 2009.

Pour cette e?dition 2009, l’annuaire de l’AFJA comporte encore plus de nouveaute?s, de couleurs, de photos, d’informations sur l’AFJA et surtout de nouveaux membres !

L’AFJA regroupe pre?s de 200 adhe?rents collaborant a? la re?daction des journaux et revues spe?cialise?s en agriculture ou des rubriques agricoles d’agences de presse, de la te?le?vision, de la radio, de la presse ge?ne?raliste et d’internet.

Dans cet annuaire au format 135 x 220 (L x H) de 140 pages, les statuts, le re?glement et les activite?s de l’AFJA sont de?taille?es et tous ses membres sont re?pertorie?s en fonction de leurs cate?gories : membres actifs, membres adhe?rents, membres associe?s et honoraires.
Renouvele? tous les deux ans, l’annuaire de l’AFJA, est a? la fois un ve?ritable outil de contact avec la presse et la carte de visite de l’AFJA. Il s’ave?re e?galement e?tre un pre?cieux soutien pour rechercher une information, confirmer un e?ve?nement, asseoir une manifestation, identifier un contact presse rapidement avec ses coordonne?es comple?tes.
Il constitue un guide pre?cieux pour travailler avec les journalistes qui e?crivent dans les me?dias agricoles et s’ave?re tre?s utile pour toutes de?marches de relations presse.
L’annuaire 2009 est vendu au prix de 75 €. Il suffit d’en faire la demande a? l’aide du bon de commande joint ou de vous rendre sur notre site internet www.afja.net.

20 janvier 2010 |
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